Hostname: page-component-745bb68f8f-b95js Total loading time: 0 Render date: 2025-01-10T23:57:24.274Z Has data issue: false hasContentIssue false
  • English
  • Français

Anne-Sophie Bruno Les chemins de la mobilité. Migrants de Tunisie et marché du travail parisien depuis 1956 Paris, Éditions de l’EHESS, 2010, 286p.

Published online by Cambridge University Press:  20 January 2017

Paul-André Rosental
Get access Rights & Permissions [Opens in a new window]

Abstract

An abstract is not available for this content so a preview has been provided. Please use the Get access link above for information on how to access this content.
Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Mobilités (comptes rendus)
Information
Annales. Histoire, Sciences Sociales , Volume 66 , Issue 2 , June 2011 , pp. 565 - 567
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 2011

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

1- Significativement, c’est du côté de la démographie qu’il faut chercher une explicitation de ce glissement d’une statistique fréquentiste vers une statistique bayésienne, et de ses implications sur les sciences sociales contemporaines. Voir Courgeau, Daniel (éd.), Du groupe à l’individu. Synthèse multiniveau, Paris, Éd. de l’INED, 2004.Google Scholar

2- Voir Lemercier, Claire et Zalc, Claire, Méthodes quantitatives pour l’historien, Paris, La Découverte, 2008.Google Scholar

3- Tavan, Chloé, « Migration et trajectoires professionnelles, une approche longitudinale », Économie et Statistique, 393-394, 2006, p. 81–99,CrossRefGoogle Scholar indique ainsi que la durée entre le premier emploi et la première promotion professionnelle est considérablement plus longue pour les immigrés ayant quitté leur pays après la fin de leurs études que pour les nationaux, mais qu’elle est au contraire comparable pour ceux qui ont achevé leurs études en France.