page 683 note 1. La vie et l'oeuvre de Jean-Charles Pellerin (1756-1836), Coll. « Trésor de l'Imagerie Pellerin » (sous la direction de P.-L. Duchartre). Epinal, Imprimerie Pellerin (et Paris, Société Française du Livre). in-f °, x-92 p., 14 hors-texte en couleurs, gravures et documents dans le texte. (Préface de P.-L. Duchartre.)

page 683 note 2. Remarquons qu'Epinal ne figure pas à la table de l'excellente contribution d'H. Chobaut, « Les Maîtres Cartiers d'Avignon du xv° siècle à la Révolution » (Provence historique, oct.-déc. 1955, p. 5-84). Mais on trouve à Avignon, exceptionnellement, un apprenti de Belfort en 1736 (p. 18), sans que Belfort d'ailleurs figure à ladite table.

page 684 note 1. Tirés à. ou. 000 exemplaires, et même 10 000 et 16 000 (jusqu'à 25 000 en 1817 pour les « Etrennes spirituelles contenant les exercices ordinaires du chrétien »). M. Dumont fait justement remarquer que les chiffres de production de l'Imprimerie Pellerin (1810-1822) sont inférieurs à la réalité. à cette dernière date seulement, une loi rendit obligatoire le dépôt des estampes. — Voir aussi les articles fort documentés de J.-P. Seguin,. Un grand imagier pari- Sien, Garson aîné, son oeuvre, et notes sur les canards et canardiers parisiens de la première moitié du XIXe siècle, Arts et traditions populaires, 1954, p. 97-146; —. Antoine Chassaignon, imprimeur, libraire et canardier parisien (1810-1854 »), Ibid., 1955, p. 1-22 et 116-133. —. Les canards de faits divers de petit format, en France, au xix” siècle », Ibid., 1956, p. 30-45 et 113-135 (listes de colporteurs, auteurs, éditeurs et imprimeurs de ces canards).

page 684 note 2. On le voit à Abbeville, Amiens, Lille, Angers (1820), etc. R. Hélot, Canards et Canardiers en France et principalement en Normandie (1935), p. 18-19. Jeanne d'Arc est aussi prétexte à images (1822). Sur le renouveau de sa popularité sous la Restauration, — le département des Vosges acquit alors sa maison en! 1819, — voir l'étude suggestive de P. Marot, « Le culte de Jeanne d'Arc à Domremy (son origine et son développement) », Le Pays Lorrain, 1956 (n« 1), p. 1-61 (en particulier p. 1633).

page 684 note 3. La Champagne demande N.-D. de Liesse et sainte Geneviève de Brabant (p. 52). — Cf. P. Cordonnier-détrie, « Une image de Lamy, cartier au Mans. N.-D. de Guadeloupe» (Rev. hlstor. et archéolog. du Maine, 1952, p. 43-50) et. Une image à l'usage des pèlerins d'Espagne, le Saint Christ de Burgos en Espagne, Ibid., 1953, p. 52-57 (sur l'influence des pèlerinages).

page 684 note 4. Références récentes chez L. Ferrand, « Richesse de l'imagerie populaire française », Cahiers d'histoire et de folklore, 1956, p. 8-22. — On. attiré aussi l'attention sur les « rapports entre l'imagerie et les impressions sur étoffes dans les premières années du XIXe siècle ». J.-P. Séguin, « Les débuts du graveur lillois J.-H. Porret » (Arts et Traditions populaires, 1955, p. 243- 245).