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page 534 note 2. En ce qui concerne la religion, la liturgie, le chant et les questions économiques et sociales, Colmar, Imprimerie Alsatia, 1951 ; in-8°, 360 p., pi. h. t. — Du même auteur, concernant le chapitre au XVIIIe siècle, on trouvera un article dans l'Annuaire de la Soc. Histor. et Littér. de Colmar, t. II (1951-1952), p. 56-74.
page 535 note 1. A propos de l'expulsion des Jésuites, J. Egret note que la question ne fut même pas posée au Conseil souverain d'Alsace, et qu'à la fin de l'année judiciaire 1763-1764 ceux-ci vaquaient paisiblement à leurs fonctions habituelles. Le procès des Jésuites devant les Parlements de France, dans Hev. Hist., juil.-oct. 1950, p. 21. — D'autre part, selon F. Burkhardt, contrairement à ce qu'on a dit, le Conseil souverain « ne défendit pas les Jésuites » ; il souligne le faible retentissement en Alsace des querelles jansénistes (École Nat. des Chartes, Position des thèses, 1950, p. 40). Sur le Collège de Colmar, notice de J. JOACHIM dans les Établissements de Jésuites en France depuis quatre siècles, fasc. 5, col. 1394-1503. Enghien (Belgique), 1945.
page 535 note 2. Toute la vie religieuse est ainsi reconstituée. Au moyen âge, la Collégiale ne compte pas moins de trente autels. Cf., pour une autre époque, abbé R. Delamare, Le calendrier spirituel de la ville d'Êvreux au XVIIIe siècle (1928).
page 535 note 3. On voudrait savoir aussi ce que devinrent les derniers chanoines après la suppression du chapitre.