1. C. Carcassonne, F. Dumas, H. Huvelin, « Recherches du poids légal à partir du poids réel, 1 : Monnaies médiévales ; 2, Solidi du Bas Empire », Bulletin Soc. française de Numismatique, 1974, a. 29, n° 7, pp. 616-621. Par exemple, J. Lafaurie montre que d'après le trésor de Szikanès (Hongrie) la livre romaine est de 324,08 g alors que madame Carcassonne l'estime à 324,72 g et Leblanc à 426,35 g. Nouvelle édition par J. Lafaurie du Catalogue des deniers mérovingiens de la trouvaille de Bais (Ille-et-Vilainè), Paris, s.d., n° 3, p. xxviii.

2. Dans la loi des Saxons, un sou mineur vaut un sou et demi majeur. Lex Saxonum, XIV. Dans la loi des Frisons, un sou vaut trois deniers, LexFrisonum, IX, XVII ; cf. H. Siems, Studien zur Lex Frisonum, Wurzbourg, 1980, p. 234.

3. Concilia Karolini aevi, M.G.H., éd. Werminghoff, Hanovre, 1906, t. II, pp. 401 et 447.

4. Benveniste, É., Le vocabulaire des institutions indo-européennes, Paris, 1969, p. 33.Google Scholar

5. M. Rouche, « La faim à l'époque carolingienne, essai sur quelques types de rations alimentaires », Revue historique, 1973, pp. 300 et 315. M. Rouche, « Les repas de fête à l'époque caroligienne », dans D. Menjot éd., Manger et boire au Moyen Age, Nice, 1984, pp. 265-296.