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Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
page 376 note 1. Les origines de la grande industrie métallurgique en France (Collection d'Histoire sociale dirigée par G. Bourgin et E. Dolléans). Préface d'E. Dolléans. Paris, Editions Domat-Monchréstien, 948, in-8°, XXI-212 p., un graphique h. t.
page 376 note 2. Ili faudrait renvoyer à Ferdinand Brunot, Histoire de la langue française des origines à 1900, t. VI, 1re partie, fasc. 1 (1930), Le mouivement des idées et les vocabulaires techniques, en particulier d'après l'œuvre de Morand, à propos de L'art d'exploiter les mines de charbon (1776-1777).
page 377 note 1. Rappelons qu'Albert Mathiez avait consacré, en 1937-1928, un de ses cours de Sorbonne à la France économique dans lia seconde moitié du XVIIIe siècle, et, en particulier, aux débuts de la grande industrie minière et métallurgique (il a été (publié dans Les Cours des Facultés).
page 377 note 2. De la « famine monétaire » a tenu compte dans son ouvrage de bonne vulgarisation, Pierre Gaxotta, La France de Louis XIV (1946). Voir la note bibliographique, p. 393.
page 377 note 3. Ces archives sont conservées à Niederbronn (Bas-Rhin). Cf. L. Vignols et P. Leuilliot, « Jean de Dietrich et la traite des nègres », Revue d'Alsace, 1930, p . 83-92.
page 377 note 4. Sur les Gouvy, indications dans R. Capot-Rey, Quand la Sarre était française (1928).
page 378 note 1. Léon, P., « Deux siècles d'activité minière et métallurgiqus : l'usine d'Allevard (1675-1870) » Revue de Géographie alpine t. XXXVI, 1940, fase 3, p. 215-58.Google Scholar
page 378 note 2. Cl. « Monographies industrielles ». Annales, t. II, 1947, 1p. 495-496. Sont omis les travaux de Juan Bouchary. Cf. Finances révolutionnaires, Ibid., p. 366.
page 378 note 3. Lire « Morvillars » (Territoire de Belfort), et non « Morvillar » (p. 117), ou « Morvilard » ou « Morvillard » (p. 178-179). Cf. « Notions exactes sur les usines et les établissements de Morvillard » (s. d. [1775]), Archives départementales du. Bas-Rhin, C 374, pièoe 1040.