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Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
page 1236 note 1. Pierre Léon, Crises et adaptations de la métallurgie alpine. L'usine d'Allevard (1869-1914). Extrait des Cahiers d'Histoire, Grenoble, 1963, 98 p.
page 1236 note 2. Pierre Léon, « deux siècles d'activité minière et métallurgique en Dauphiné : l'usine d'Allevard (1675-1870) », Revue de Géographie Alpine, tome XXXVI, 1948, p. 215-258.
page 1236 note 3. Pierre Léon, La naissance de la grande industrie en Dauphiné (fin du XVIIe . Préface de Ernest Labrousse. (P.U.F., 2 vol., 1954. Publication de la Faculté des Lettres de Grenoble).
page 1239 note 1. Pour le comptable — et l'industriel — le bénéfice « brut » est celui qui apparaît avant le prélèvement des amortissements, mais après la soustraction des «travaux neufs » (investissements). P. Léon donne un sens plus large au mot « brut » : il englobe les dépenses d'investissements dans son profit «brut ». C'est son droit, dès lors qu'il a précisé sa démarche (voir note 20 de la p. 13) et cette démarche est justifiée. Il serait peut-être préférable, pour éviter une confusion de langage entre comptable et économiste, de parler d'un profit « originel », plutôt que « brut ». Le profit originel comprenant : investissements, amortissements d'usure de l'outillage existant, mises en réserve sur les produits de l'exercice et, bénéfices distribués. Si de ce profit originel on enlève les dépenses de « travaux neufs » on a le i bénéfice brut » classique
page 1240 note 1. des années 1890 à 1914 toutes les émissions de titres de cette firme ont passé par le patronage du Crédit Lyonnais.