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Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
1. Alix, Christine : Le Saint-Siège et les Nationalismes en Europe 1870-1960, Paris, Sirey, 1962, in-8°, IX-367 ppGoogle Scholar.
2. On trouvera in fine quelques remarques suggestives sur les rapports du Saint-Siège avec les nationalismes nés récemment dans les anciens territoires coloniaux (pp. 342 et ss.).
3. Pp. 7-80.
4. Expression de M. G. Le Bras reprise par l'auteur.
5. Pp. 81-149.
page 396 note 1. Pp. 151-235.
page 396 note 2. Pp. 237-309.
page 396 note 3. Pp. 311-337.
page 396 note 4. P. 3.
page 396 note 5. P. VIII. G. Le Bras ajoute : « Mussolini passera, nous disait un membre éminent de la Curie, quand nous discutions l'accord de 1929, et le Concordat lui survivra. » De fait, les Concordats de 1929 et de 1933 ont survécu à Mussolini et à Hitler.
page 396 note 6. II semble toutefois excessif de soutenir que « Hitler avait besoin des catholiques au Parlement » (pp. 308-309). Le 23 mars, Hitler avait obtenu les pleins pouvoirs du Reichstag, désormais mis en sommeil. Le parti unique avait été instauré (14 juillet) quelques jours avant la conclusion du Concordat (20 juillet).
page 397 note 1. Sur une attitude assez surprenante à l'égard de l'Allemagne hitlérienne, Christine Alix écrit : « Si le Saint-Siège ne se faisait guère d'illusions sur le respect du Concordat, il ne pensait peut-être pas que sa violation serait immédiate. » (p. 229).
page 397 note 2. La Civiltà Cattolica (1870-1919), dirigée par la Compagnie de Jésus, a été également utilisée pour définir la position du Saint-Siège jusqu'à la fin de la première guerre mondiale.
page 397 note 3. La bibliographie des ouvrages utilisés (pp. 349-353) rendra de grands services. On pourra seulement regretter qu'elle ignore l'historiographie de langue allemande.
page 397 note 4. Annales E.S.C., novembre-décembre 1963, p. 1203.