page 984 note 1. Strumilin, PromyMenniy perevorot v Rossii, Moskwa, 1944.

page 984 note 2. Jacunskij, Promyslenniy perevorot v Rossii, Voprosy istorii, Moskwa, 1952.

page 984 note 3. Sandor, Vilmos, « Die Grossindustrielle Entwicklung in Ungarn, 1867-1900 », Acta Historica Academiae Scientiarum Hungaricae, Budapest, 1956, pp. 189–247.Google Scholar

page 984 note 4. Voir sur ces divergences l'article de Portal, Roger, « Das problem einer industriellen Révolution im Russland im 19. Jahrhundert », Forschungen zur Osteuropäischen Geschichte, 1954, pp. 205–216.Google Scholar

page 985 note 1. Du 18 au 20 novembre 1956. Voir compte rendu du côté allemand : Wick, Peter, « Industrielle Révolution und « Preussischer Weg » der Entwicklung des Kapitalismus in der Landwirtschaft », Zeitschrift für Geschichtswissenschaft, 1957, pp. 365–368 Google Scholar, et du côté tchécoslovaque le texte de la conférence de PUKS : « K nékteryn: otàzkam prumyslové revoluce » ( Sur quelques problèmes de la Révolution industrielle), ceskoslovenský časopis historický, 1957, pp. 266-276, qui est une réplique directe à l'article de Kuczynski, Jurgen, « Zum problem der Industriellen Révolution », publié au début de 1956, Zeitschrift fur Geschichtswissenschaft, 1956, pp. 501–524.Google Scholar

page 985 note 2. Article cité, pp. 513-515.

page 985 note 3. K některým otázkam, p. 274.

page 986 note 1. Article cité p. 502. Les opinions de Kuczynski sont partagées par d'autres historiens allemands, par exemple Gersiepen (voir article de Peter WICK, p. 368).

page 986 note 2. K nektěrým otázkam…, p. 269.

page 986 note 3. Historia Slaska, 1955, citée et réfutée par Milan Myska, « K otàzce datovani Prumyslové revoluce v slezkém železařstvi », Slezsky Sborník, 1958, pp. 215-230 (Sur la question de la Révolution industrielle dans la métallurgie de Silésie).

page 986 note 4. Anton Spiesz, « K problematice pociatku priemyslovej revoluce na Slovensku » (Sur le problème du début de la Révolution industrielle en Slovaquie), Historický časopis, 1954, p. 552, article réfuté par PURŠ : « K problematice prumyslové revoluee v ceských zemich a na Slovensku » (Sur la problématique de la Révolution industrielle dans les Pays Tchèques et en Slovaquie), Historický casopis, 1955, pp. 566-570.

page 987 note 1. C'était alors la première machine à vapeur utilisée sur le continent. Voir sur ce point Pubs, J., « Technology in the period 1750-1000 », Historica, 1962, p. 259.Google Scholar

page 987 note 2. Dans son livre Prumyslová revoluee v českych zemnich (La Révolution industrielle dans les Pays Tchèques), Praha, 1960, et ses nombreux articles dans le Československy casopis, l'Historický časopis et la revue Historica.

page 987 note 3. PURŠ, « K některým otázkam prumyslové revoluee », article cité, p. 273. Il ajoute : « De ce point de vue, il est nécessaire de rechercher la liaison entre la réalisation de la Révolution industrielle et la naissance de la première crise générale cyclique en France, en Allemagne, en Russie et dans d'autres pays ».

page 987 note 4. Cette simultanéité a été mise en doute par l'Allemand Katz à la conférence des historiens de 1956. Peter Wick, article cité, p. 368.

page 988 note 1. Rappelons que l'expression « les Pays Tchèques » englobe Bohême, Moravie et Silésie tchèque (et exclut la Slovaquie, alors rattachée à la ïransleithanie).

page 988 note 2. Přehled československcyh dějin (Précis d'histoire tchécoslovaque), II, tome 2, p. 830.

page 988 note 3. Přehled českoslavenskych dějin, II, tome 2, p. 898.

page 989 note 1. Christian d'Elvert, ZUT Kulturgeschichte Màhrens und Ost. Schlesiens, I Teil, Urno, 1886, p. 435, et Johann SLOKAB, Geschichte der Osterreichischen Industrie und ihre Forderung unter Kaiser Franz I, Wien, 1914, p. 179.

page 989 note 2. En Bohême : Prague, Libérée, Cheb, Ceské Budejoviee, Plzen ; en Moravie : Brno et Olomouc ; en Silésie : Opava.

page 989 note 3. Berichten der Uandels-und Gewerbeskammer…, publiés irrégulièrement par les Chambres de commerce.

page 990 note 1. Purš, J., « K problematice prumyslové revoluce v českych zemích a na Slovensku », Historický časopis, 1955, pp. 571–572.Google Scholar

page 990 note 2. Purš, J., « K otázce prumyslové revoluce v hlavnich odvëtvich textilniho prumyslu v českých zemich », Československy časopis historický, 1954, pp. 94–96.Google Scholar

page 990 note 3. Ibidem, p. 97.

page 990 note 4. Ibidem, p. 101.

page 990 note 5. Ibidem, p. 101-107.

page 990 note 6. Purš, , « Pouziti parnich stroju v prumyslu v českých zemich v oddobi do nastupu imperialismu », Československý časopis historicky, 1954, pp. 451, 452, 455Google Scholar ; et Vrbova, Pavla, « K otázce vzniku strojirenského prumuslu v českych zemich » (Sur la question de l'essor de l'industrie des machines-outils dans les Pays Tchèques), Československý časopis historický, 1951, pp. 669–702 Google Scholar et Vrbova, Pavla : Hlavnío tázky vzniku a vyvoje ceského strojirenstvi do roku 1918, Praha, 1959 Google Scholar (Problèmes essentilles de la naissance et de l'essor de l'industrie des machines-outils tchèques jusqu'en 1928), p. 32.

page 991 note 1. PURŠ, ibidem, p. 456.

page 991 note 2. PURŠ, « K otazee prumyslové revoluce v hlavních odvětvich textilniho prumyslu », article cité, p. 98-101.

page 991 note 3. Ibidem, p. 106.

page 991 note 4. PURŠ, ibidem, p. 110.

page 991 note 5. Drkal, Stanislas, « Hladová leta na Jesenicku » (Les années de famine dans la région de Jesenik), Slezsky Sborník, 1962, pp. 306–323.Google Scholar

page 991 note 6. Philippe de Girard avait tenté de 1817 à 1824 d'installer en Autriche une usine de filature, mais l'entreprise fit faillite en raison d'une mauvaise gestion financière. Voir Long, Dwight C., « Philippe de Girard and the introduction of Mechanical Flax gpinning in Austria », Journal of Economie Hislory, 1954, p. 20–34.Google Scholar

page 992 note 1. PURŠ, Použití parnych stroju, p. 464.

page 992 note 2. Ibidem, pp. 466-467.

page 992 note 3. Pavla Vrbova, K otázce vzniku strojirenského prumyslu, p. 679 ; et PURš. Použiti parnych stroju (pp. 457-460).

page 992 note 4. Pavla Vrbova, ibidem, note 25.

page 992 note 5. Milan Myska, « Založeni a počatky Vitkovických žélezaren » (Fondation et débuts des usines métallurgiques de Vitkovice), Slezský sbornik, 1953, pp. 502-527.

page 992 note 6. PURŠ, Použiti parných stroju, p. 467.

page 993 note 1. PURŠ, K problematice prumyslové revoluce v českých zemích a na Slovensku, 1956, p. 70.

page 993 note 2. Auxquels il faut ajouter 8 736 métiers à régulateur, avec une production de 5 millions de florins. Voir PURš, K otázce prumyslové revoluce v hlavních odvtvěich textilního prumyslu, p. 100.

page 993 note 3. PURš, article cité, Historický časopis, 1956, p. 56.

page 994 note 1. J. Hrabak, Železařstvi v Cechách jindy a nyni (La métallurgie en Bohême autrefois, et maintenant), Praha, 1909.

page 994 note 2. PURš, article cité, Historický časopis, 1956, p. 66.

page 994 note 3. Avec raison d'ailleurs. Et c'est là un point sur lequel je suis d'accord avec lui.

page 995 note 1. « Atmenet az imperialismusba », employée par Sàndor VILMOS, dans son livre Nagipari fejlödes Magyarorszdgon, 1867-1900 (Essor de la grande industrie en Hongrie), Budapest, 1054.

page 995 note 2. Vorbereitung des Stadiums des Imperialismus.

page 995 note 3. Zdeněk Jindra : « Prumyslové monopoly v Rakousko-Uhersku » (Les monopoles industriels en Autriche-Hongrie), Československý časopis Historicky, 1957, pp. 281-270.

page 995 note 4. PURš, compte rendu du livre de Sándor Vilmos, Československy časopis Historický, 1957, pp. 761-766 où il critique sévèrement Jindra, accusé d'étude insuffisante « et plutôt primitive » de cette période.

page 996 note 1. Ces chiffres, comme la plupart de ceux qui suivent seront d'ailleurs empruntés à l'excellente documentation de PURš. Voir ici : « Použiti parnich stroju », p. 464.

page 996 note 2. Ce tableau a été établi par Purš (Použití parních stroju, p. 496) à partir de Mulhall, The Dictionary of Statistics, London, 1892, pp. 545-549. Pour certains pays, Purš a complété par recoupement avec d'autres sources ; par exemple pour la France, il emprunte ces chiffres à Mulhall pour 1840-1850, puis à Jurgen Kuecynski, Die Geschichte der Lage der Arbeiter in Frankreich von 1700 bis in die Gegenwart, Berlin, 1949, p . 191. Ce tableau peut être discuté dans le détail : mais sa valeur comparative reste inchangée. Ce tableau ne tient compte que des machines fixes, les plus importantes. L'étude des locomotives et des bateaux à vapeur aurait montré une évolution identique.

Voir le graphique n° 1.

page 997 note 1. Blum, Jérôme, « Transportation and Industry in Austria 1815-1848 », Journal of Modem History, 1943, p. 38.Google Scholar

page 997 note 2. Pavla Vrbova, livre cité, p. 93.

page 997 note 3. Jérôme Blum, article cité, p. 38.

page 998 note 1. Ibidem, p. 29.

page 998 note 2. Kupka, P. F., Die Eisenbahnen Osterreichs-Ungarns 1822-1867, Leipzig, 1888, tableau de la page 383.Google Scholar

page 998 note 3. Prehled Českosolovenskych dejin, II, tome 2, p. 181.

page 999 note 1. Pavla Vrbova, livre cité, p. 98.

page 999 note 2. Sur ce total, 89,36 % a été investi en Bohême, et 7,90 % en Moravie. Přehled Ceskoslovenskych dějin, II, tome 2, pp. 829-830.

Voir graphique, n° 2.

page 999 note 3. Zdenek Jindra, « K rozvoji ceského bankovniho kapitalu pred přvní světovou valkou » (L'essor du capital bancaire tchèque avant la première guerre mondiale), Ceskoslovensky časopis historicky, 1957, pp. 500-520.

page 999 note 4. Sinon à l'état d'exception. Par exemple, les Rothschild engagent des capitaux dans l'usine métallurgique de Vitkovice, dès 1886, et l'achètent en 1842. Cela n'annonce aucune politique systématique d'investissements dans l'industrie : l'usine de fabrication de rails est une simple annexe des intérêts ferroviaires qu'ils possèdent dans le Nordbahn.

page 1000 note 2. Elles représentaient les 2/3 du capital. (Jindra, K rozvoji ceského bankovniho kapitalu, pp. 510-511).

page 1000 note 3. Přehled Českoslavenskych dějin, II-I, pp. 359-369.

page 1000 note 4. Voir le graphique n° 3 sur l'essor des banques par actions dans les Pays Tchèques.

page 1001 note 1. Cité par Jindka, Prumyslové monopoly v Rakousko-Uhersku, p. 244. Le nombre des cartels en Autriche-Hongrie est de 18 en 1890, 57 en 1900, 100 en 1905, plus de 200 en 1912.

page 1001 note 2. Ces « survivances du féodalisme » sont bien connues des historiens tchèques, mais ils n'estiment pas à sa juste valeur le retard que ces survivances ont pu entraîner.

page 1001 note 3. Přehled Československych dějin, II, 1, pp. 161-163. Même si on admet que cette indemnisation a été versée en vingt ans (pour les sommes payées par les anciens serfs) ou en quarante ans (sommes payées par le Land), on se rend compte de l'importance des capitaux que mobilise le féodalisme.

page 1001 note 4. PURš, Použiti parních stroju, p. 472.

page 1002 note 1. Prehled československych dejin, II, 1, p. 163.

page 1002 note 2. Punš, Použiti parnich stroju, 1954, p. 462.

page 1002 note 3. Myska, Pocatky a zalozeni Vitkovicich zelezaren, p. 512. Le prix était inférieur à la valeur réelle de l'usine. Mais même si on l'estime à 400 000 florins, la valeur de la comparaison reste presque inchangée.

page 1002 note 4. L'historiographie tchèque étudie évidemment la composition sociale de ces groupes nationaux, mais laisse les problèmes nationaux en dehors de la définition de la Révolution industrielle.

page 1003 note 1. Voir, outre l'article de Vrbova déjà cité, le livre de Henderson, W. O., Britain and Industrial Europe 1750-1870, Liverpool, 1954, pp. 194–198 Google Scholar et Benedikt, Heinrich, Die Wirtschaftliche Entwicklung in der Franz Joseph Zeit, Vienne, 1958, pp. 24–27.Google Scholar

page 1003 note 2. Vrbova, Pavla, « K otazce vzniku ceské prumyslové bourzoasie » (Sur le problème de la naissance de la bourgeoisie tchèque), Československy časopis historicky, 1962, p. 257.Google Scholar

page 1004 note 1. Pavla Vrbova, « K otazce vzniku strojirenského prumyslu », pp. 688-685.