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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
1. Cf. en dernier lieu Haupt, H. G., Kocka, J. (éds), Geschichte und Vergleich, Francfort, Campus, 1996 Google Scholar, qui rassemble à la fois des études théoriques et des exemples d'analyses concrètes.
2. Voir notamment l'ouvrage qu'il a dirigé dans le cadre du projet de Bielefeld animé par Jùrgen Kocka sur les bourgeoisies européennes, Burgerliche Berufe, Gôttingen, Vandenhoeck et Ruprecht, 1988.
3. Cf. notamment Espagne, M., Werner, M., « La construction d'une référence allemande en France. Genèse et histoire culturelle », Annales ESC, 1987, n° 4, pp. 969–992 Google Scholar et Espagne, M., Werner, M., Philologiques III. Qu'est-ce que la littérature nationale? Approches pour une théorie interculturelle du champ littéraire, Paris, Éditions de la MSH, 1994.Google Scholar
4. Bien qu'H. Siegrist cite certains articles de L. Karpik dans sa bibliographie, il est dommage qu'il ne confronte pas plus systématiquement sa typologie avec le modèle du barreau classique défini par celui-ci, également en rupture avec les modèles wébériens (cf. en dernier lieu, son ouvrage, non cité, Karpik, L., Les avocats, entre l'Etat, le public et le marché, XIIIe-XXe siècles, Paris, Gallimard, 1994 Google Scholar).
5. Le cas le plus célèbre de ces avocats d'affaires hommes politiques est celui d'Ernest Bassermann sur lequel on dispose de la saga écrite par Gall, Lothar, Bûrgertum in Deutschland, Berlin, Im Siedler Verlag, 1989.Google Scholar
6. Comme il l'explique en annexe il a dû renoncer, à cause de la mauvaise qualité des sources, à une comparaison avec des avocats berlinois.
7. Charle, C., « La bourgeoisie de robe en France au XIXe siècle », dans Le Mouvement social, n° 181, octobre-décembre 1997, pp. 57–72.Google Scholar