Hostname: page-component-cd9895bd7-fscjk Total loading time: 0 Render date: 2024-12-23T10:49:43.020Z Has data issue: false hasContentIssue false

Autour de 1600 : Le commerce du poivre des Fugger et le marché international du poivre

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Extract

Se rendant maître du Portugal, Philippe II d'Espagne mit ainsi la main sur le monopole des épices « indiennes », que les rois de Portugal avaient détenu jusqu'alors. C'étaient essentiellement deux grosses affaires qui étaient traitées par contrat : l'un pour l'Asie, l'autre pour l'Europe. Celui de l'Asie comportait l'achat du poivre et d'autres épices aux Indes et leur transport jusqu'à Lisbonne, à la « Casa da India » ; celui de l'Europe, la vente de ces produits sur les marchés européens. Le grand mérite de la Couronne résidait dans l'exploitation de l'écart important entre l'achat et la vente à la Casa da India : elle faisait entrer au plus bas prix possible et mettait ensuite en vente au plus haut.

Type
Études
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1956

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

page 1 note 1. Ou bien Roth : d'une famille souabe, fixée à Augsbourg et à Ulm. Lui-même écrivait déjà “Roth” dans les années 70. Cf. Archives centrales de Saxe, Dresde, Loc 7411. Cf. Kellenbenz, H., Unternehmerkrâfte im Hamburger Portugal- uni Spanienhandel, 1590-1625, Hambourg 1954, p. 2123 Google Scholar, 143, 154, 158, 159, 291, 292 et les notes où la bibliographie antérieure est rappelée.

page 1 note 2. Hieronimo Rovelasca : cf. Gokis, J. A., Étude sur les colonies marchandes (Portugais, Espagnols, Italiens) à Anvers de 1488 à 1567, Louvain, 1925, p. 250.Google Scholar

page 1 note 3. Sur les Parys de Robotrath, cf. Macco, H. F., Aachener Wappen und Genealogien, II, Aix-la-Chapelle, p. 60 et suiv.Google Scholar

page 2 note 1. Pour ceci et la suite, cf. Braudel, F., La Méditerranée et le monde méditerranéen, à l'époque de Philippe II, Paris 1949, p. 439 Google Scholar et suiv. Toute la bibliographie se rapportant à la question y est citée. Dobel, F., Uber einen Pfefferhandel der Fugger und Welser, 1586-1591, (Z. des hist. Ver. f. Schwaben und Neuburg , XIII, 1886, p. 125 et suiv.Google Scholar) donne le l.XII.1585 comme date de signature du traité.

page 2 note 2. Nous ne nous étendrons pas plus sur ce contrat « indien », complétant les travaux de Dobel (cf. note n° 1), de K. Habler, Geschichte der Fuggerschen Handlung in Spanien, Weimar, 1897, p. 225 et suiv., M. A. H. Fitzler, Der Anteil der Deutschen an der Kolonialpolitik PhilippsII. von Spanien in Asien, dans V. S. W. G. XXVIII, 1935, et Die Entstehung der sogenannten Fuggerzeitungen in der Wiener National-bibliolheh, dans Verôff. d. Wiener Hofkammerarchivs, publiées par J. Kallbrunner, II, Vienne, 1937. L'objet essentiel de cette étude-ci est d'explorer le contrat européen en 1591, jusqu'ici négligé, et de compléter les observations faites à l'aide du matériel d'archives, surtout l'Archivo General de Simancas. La source la plus importante est la copie, 2, 1,35 des Archives des Fugger (mention abrégée : F. A., 2, 1, 35) qui contient toute la correspondance des deux frères relative à ce contrat européen ; puis la correspondance avec'les Otti, 2, 1, 34, a, b, c,. Il n'est d'ailleurs pas sûr que tout le poivre venant des Indes fut inclus dans le contrat. Une lettre aux Otti du lê.VII., et une du 17.ix. 1588 citent des bateaux venant d'Ormuz et de Malacca, qui ne figurent pas au contrat.

page 2 note 3. Philipp Eduard et Oktavian Fugger à Speidel et Schorer, à Londres, le 9.IX.1593, F. A., 2, 1, 35. Le roi se déclarait d'accord le 18.m. 1586. Pour le trafic du poivre par les Welser, cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 159 et suiv.

page 2 note 4. Cf. plus loin la comparaison : et surtout la commandite des Fugger à la part des Welser et la créance des Fugger sur Rovelasca.

page 2 note 5. Cf. Philipp Eduard et Oktavian Fugger à Speidel et Schorer à Londres, le 9. ix. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 3 note 1. Les indications suivantes sont tirées de F. A., 2, 1, 35.

page 3 note 2. Pour le compte des frères Fugger, il y avait encore sur ce bateau 5 dolia clav culorum (clous de girofle), cf. lettre à Speidel et Schorer du 10 xn 1592, F. A., 2, 1, 35. Dans le bateau S. Bernardo, les Fugger avaient 11 dolia et 1 cista macis et 11 fardos canellae, dans le vaisseau Buen Jésus 4 cistas macis au même endroit.

page 4 note 1. Cf. encore Lane, F. G., The Mediterranean spice trade. Further évidence of its revival in the sixteenth century , dans The Am. Hist. Rev., XLV, 1940, p. 581 Google Scholar et suiv. ; de même Braudel, ouvr. cité, p. 441 et suiv.

page 4 note 2. Texte du 6. vi. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 4 note 3. Cf. Situation de 1589 : 1 500 Zentner qui avaient été vendus à crédit par les contractadors, 36 ducats le Zentner, aux Vénitiens Jeronimo Stella et Raphaël Fantoni, furent pris par les Anglais dans le détroit de Gibraltar. Dobel, ouvr. cité, p. 134.

page 4 note 4. Lettre à Daniel Rindfleisch à Anvers, 26. III. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 4 note 5. Lettre à Cornélius de Hertoghe, à Hambourg, le 30. XII. 1592, F. A., 2, 1.35. La cargaison vénitienne était de 217 livres de Nuremberg : Archives centrales de Saxe, 7411.

page 4 note 6. Lettre à Hertoghe le 10. III. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 5 note 1. Lettre à Speidel et Schorer, à Londres, le 6. v. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 5 note 2. Sur le cantar et son rapport au quintal, cf. Lane, ouvr. cité, 586, n. 27.

page 5 note 3. Hieronymus et Christoffer Ott, en italien Otti, cf. ci-dessus, p. 4, et F. A., 2, 1, 34.

page 5 note 4. Dobel dit 1589. Mais je vois dans la correspondance des Otti que cette affaire n'a été conclue qu'en 1590. F. A., 2, 1, 34 a, b, c.

page 5 note 5. Lettre du 9. v. 1591 à Martin Entzesperger, à Hambourg, F. A., 2, 1, 35.

page 6 note 1. Cf. Habler, ouvr. cité, p. 227 et suiv.

page 6 note 2. Cf. l'évaluation dans la lettre à Speidel et Schorer du 8. x. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 6 note 3. Dans la correspondance des Fugger, Ruy Lopes Dévora, cf. lettre à Entzesperger du 19. IX. 1951, F. A., 2, 1, 35.

page 6 note 4. Requête de Simon Rodrigues Dévora, datée d'Anvers, 14. i. 1592, Archivo General de Simancas (mentionné par la suite A. G. Simancas), Estado 601.

page 6 note 5. Cf. le tableau p. 3.

page 6 note 6. Lettre à Entzesperger à Hambourg, le 27. vi. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 6 note 7. Lettre à Hans Hunger à Amsterdam, le 18. vii. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 7 note 1. Cf. Archives centrales de Saxe, Dresde, Loc. 7411. Le document espagnol est sans date, mais elle peut être inférée facilement. Cf. A. G. Simancas, Estado 2852.

page 8 note 1. Attestation du conseil de la ville d'Augsbourg au roi de Danemark, du 22. v. 1591 ; lettre à Henrich Kerstens à Lûbeck, le 6. vi. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 8 note 2. Dans la lettre à Entzesperger du 5 et 12. ix. 1591, il est question de 30 bateaux, F. A., 2, 1, 35.

page 8 note 3. A Hunger, à Amsterdam, le 18. vi. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 8 note 4. A de Hertoghe, à Hambourg, le 17 .ix. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 9 note 1. Cl. le tableau de la page 10.

page 9 note 2. Cf. aussi ce que de Hertoghe à Hambourg et Hunger à Amsterdam devaient livrer au représentant de Giraldo Paris : l'un 663 quintaux, l'autre 74.

page 9 note 3. Lettre aux Ximénès, à Hambourg, le 12. ix. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 9 note 4. Cf. Beutin, L., Der deutsche Seehandel im Mittelmeergebiet bis zu deh Napoleonischen Kriegen, Neumunster, 1933, p. 6 et suiv., 180, 185Google Scholar ; et Kellenbenz, ouvr. cité, p. 242.

page 11 note 1. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 274.

page 11 note 2. Barbour, Violet, Capitalism in Amsterdam in the sevenleenth century, Baltimore, 1950 Google Scholar : elle montre l'importance de Hambourg, p. 14 et suiv.

page 11 note 3. Une partie des virements s'effectuait cependant par la voie Hambourg-Nuremberg, cf. p. 15.

page 11 note 4. Cf. p. 11.

page 12 note 1. Lettre à Daniel Rindfleisch à Anvers, le 23. vi. 1594, F. A.,2 1, 35.

page 12 note 2. A Hartlieb à Bruxelles, le 21. XII. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 12 note 3. Dans une lettre à de Hertoghe à Hambourg, le 11. i. 1595, il est dit que Hinderofen leur avait annoncé sèchement que Hartlieb et Paris s'étaient mis d'accord. Haebler, ouvr. cité, p. 229, estime que Hinderofen succéda à Eberlin en 1595.

page 12 note 5. Lettre à J. Hartlieb, le 21. XII. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 13 note 1. Au début des années 80, Giraldo Paris était l'agent de Rott à Madrid. Requête non datée de Rott dans A. G. Simancas, Estado 2845.

page 13 note 2. Lettre à Rindfleisch, à Anvers, le 11. VIII. 1594, F. A., 2, 1, 35. Ces foires se tenaient à ce moment-là à Plaisance. Cf. de Roover, R., L'évolution de la lettre de change XIVe-XVIIIe s., Paris, 1953, p. 74 Google Scholar : Novi y est aussi mentionnée comme lieu de foire.

page 13 note 3. Lettre à Rindfleisch, à Anvers, le 8 et 15. ix. 1594, F. A., 2, 1, 35.

page 13 note 4. Sur les Krel (ou Krell) : Hagl, J., Enttvicklung des Augsburger Grosskapitals von der Mille des 16. Jahrhunderts bis zum Beginndes dreissigjahrigen Krieges (1540-1618), Diss. Munich 1924, p. 43 et suiv.Google Scholar ; et Kellenbenz, ouvr. cité, p. 297, 309 et suiv.

page 13 note 5. Sur celui-ci, Kellenbenz, ouvr. cité, p. 155 et suiv. Dans la correspondance des Fugger, ce nom est écrit Entzisperger.

page 14 note 1. « Versehen ir werdets mit stro und blaken dermassen versorgt und den Fuhrleuten recommandirt haben, das sie one schaden alhie gelangen môgen », lettre à Entzesperger, le 13. iv. 1594, F. A., 2, 1, 35.

page 14 note 2. Lettres à Cornelis de Hertoghe, les 2. vi., 1. ix. et 20. x. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 14 note 3. Ils pensèrent un moment remplacer Kerstens par Lukas Steffens. Lettre à Entzesperger 22. vin. 1591, F. A. 2, 1, 35. Sur les Tunemann (ou Thunemann), cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 145.

page 14 note 4. Sur de Hertoghe, cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 208.

page 14 note 5. Cf. aussi Dobel, ouvr. cité, p. 135 et suiv.

page 15 note 1. -Lettre à Speidel et Schorer, le 1. vu. 1593, F. A. 2, 1, 35.

page 15 note 3. Archives municipales d'Anvers, Schepenregister.

page 15 note 4. Striedeh, J., Aus Anttverpener Notariatsarchiven : Quellen zur deutschen Wirtschaftsgeschichte des XVI. Jahrhunderts, dans Deutsche Handelsakten des Mittelalters und der Neuzeit, IV, Berlin et Leipzig, 1934, p. 389 (23. H. 1588).Google Scholar

page 15 note 5. A Rindfleisch, le 28. ix. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 15 note 6. Marx Ulstet venait de mourir. Sur les Ulstett d'Augsbourg, cf. Hagl, ouvr. cité, p. 124 g-t gniv.

page 15 note 7. À Rindfleisch, le 26. v. 1594, F. A., 2, 1, 35.

page 16 note 1. A Rindfleisch, le 4. VIII. 1594, F. A., 2, 1, 35.

page 16 note 2. h'asiento fut conclu le 13. vi. 1594 (pour une somme de 107 000 escudos). A. G. Simancas, Estado 2035. Lapeyre, H., Simon Ruiz et les asientos de Philippe H, Paris, 1953, p. 89 Google Scholar et suiv. : la somme exacte fut 92 276,9 escudos.

page 16 note 3. A Rindfleisch, le 4. VIII. 1594, F. A., 2, 1, 35.

page 16 note 4. A Rindfleisch, le 8. VIII. 1594,-F. A., 2, 1, 35.

page 16 note 5. A Rindfleisch, le 1. XII. 1593. Ici Amato et Masi signifie Orfeo Amato et Cosme Masi. Cf. Lapeyre, ouvr. cité, index.

page 16 note 6. Il s'appelle tantôt Capponi, tantôt Cassina ; lettres à Rindfleisch, 8. XII., 29. XII. 1594,

page 16 note 5. i. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 17 note 1. A Rindfleisch, le 19.1.1595, F. A., 2, 1, 35.

page 17 note 2. Entre temps, Wilhelm Besserer (qui appartenait à une famille bien connue en Haute- Allemagne) dirigea son commerce.

page 17 note 3. Lettre à Rindfleisch, le 16. III. 1595. Réponse de Rindfleisch le 4. m (?) : « avec toute satisfaction ».

page 17 note 4. A Rindfleisch le 20. iv. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 17 note 5. Avec une lettre du 5. iv. 1595 « que se pagassen estos asientos » ; lettre aux Ximénès le 18. v. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 17 note 6. H. Lapeyre, ouvr. cité, p. 89 et suiv.

page 17 note 7. Sur le sort ultérieur de Rindfleisch, une requête de ses héritiers (qui fut l'objet de négociations à Madrid en 1621) nous renseigne. A. G. Simancas, Estado 2035.

page 18 note 1. Cf. page 2.

page 18 note 2. Sur les liens familiaux entre les Ximénès et les Rodrigues d'Evora, cf. J. Denucé, lets over portugeescke Geslachten, Antwerpsch Archivenblad, 1927

page 18 note 3. A Entzesperger, à Hambourg, le 19. iv. 1591, F. À., 2 , 1 , 35. Cf. aussi G. J . C. Henriques, O Covento de Nossa Senhora dos Remedios dos Carmelitas Descalços, dans Archivo istorico portugues, VIII, 1910-1912, p. 256 (Lopo Roiz de Evora ou Lopo Rodrigues de Evora) ; cf. aussi l'article Rodriguez d'Evora y Vega (Lopez-Maria) dans Biographie nationale… de Belgique, XIX, Bruxelles, 1907, colonnes 630-632 (article rédigé par F. Donnet).

page 18 note 4. Lettre de Rindfleich, le 16. n. 1595 : il devait remettre ce qu'il avait touché pour le 1/8 depuis la fm septembre 1594 à la fin janvier 1595, à Nicolas Rodrigues Dévora, à Duarte Ximénès (sans doute le fils aîné de Ruy Nunes) et aux héritiers de Ruy Nunes ; F. A., 2, 1, 35.

page 18 note 5. Cf. aussi Nanninga Uitterdijk, J., Een Kamper handelshuis te Lissabon 1572-1594, Zwolle, 1904 Google Scholar ; et Kellenbenz, ouvr. cité, p. 290 et suiv.

page 18 note 6. A Hunger, à Amsterdam, le 1. VIII. 1592 ; F. A., 2, 1, 35.

page 18 note 7. Lettre à Jeremias Jenisch, le 21. x. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 19 note 1. « Petershof » et Pietersz Hooft également. Lettres à Hunger à Amsterdam, le 16. i. et le 20. H. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 19 note 2. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 111 et suiv., 226 et suiv.

page 19 note 3. A Entzesperger, à Hambourg, le 31. x. 1591, F. A., 2, 1, 35 ; aux Otti le 31. XII. 1588 ; le 18. n. 1589 ; le 1. III. 1592 ; F. A., 2, 1, 34, a et c.

page 19 note 4. Cf. Lapeyre, ouvr. cité.

page 19 note 5. Cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 260.

page 19 note 6. Cf. Strieder, ouvr. cité.

page 19 note 7. Cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 201 et suiv.

page 19 note 8. Stella di Venetia, Fantoni Luis Besato, JulioNesci raux Otti,le 20. x. 1590. F. A.,2,l,3ib.

page 20 note 1. Cf. Dobel, ouvr. cité, p. 125.

page 20 note 2. Cf. G. Frhr. Von Polnitz, Jacob Fugger, Kaiser, Kirche und Kapital in der oberdeutschen Renaissance, Tubingen, 1949, p. 191.

page 20 note 3. Cf. Goris, ouvr. cité, p. 204.

page 20 note 4. Cf. Dobel, ouvr. cité, p. 134.

page 20 note 5. Aux Otti, le 13. iv. 1591, F. A., 2, 1, 35 b; Simon Rodrigues d'Evora offrait 35 ducats (à 35 plaças) le quintal rendu à Anvers. A. G. Simancas, Estado 601.

page 20 note 6. Dans une lettre à Speidel et Schorer du 15. iv. 1593, le quintal est mentionné à 45 escudos à Lisbonne… Cf. lettre à de Hertoghe du 14. iv. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 20 note 7. Lettre aux Ximénès, le 5. ix. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 21 note 1. Lettre à Rindfleisch du 26. v. 1594, lettre à de Grève du 25.1.1595, F. A., 2, 1, 35.

page 21 note 2. Entzesperger, les 9. v. et 31. v. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 21 note 3. Ils vendirent à 38 et 40.

page 21 note 4. A de Hertoghe, le 22. XII. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 21 note 5. A de Hertoghe, le 27. vu. 1594, F. A., 2. 1, 35.

page 21 note 6. A de Hertoghe, le 22. ix. 1594, et le 5. x. 1954 : parée qu'un seul navire est arrivé à Lisbonne, et qu'il fallait s'attendre à ce que les deux vaisseaux en retard ne puissent rentrer cette année, parce qu'aussi l'Armada turque empêchait la navigation du Levant, le poivre comme toutes les épices vaudrait bientôt beaucoup plus qu'en ce moment ; et à Venise, il est déjà en hausse. Ils espèrent donc faire une bonne affaire avec ce qu'ils ont sous la main, traiter le poivre fin à 38, le moyen à 41 et le gros à 43. F. A., 2, 1, 35

page 22 note 1. Lettre à de Hertoghe, le 20. x. 1594, F. A , 2, 1, 35.

page 22 note 2. A de Hertoghe, le 30. xi. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 22 note 3. A de Hertoghe, le 11. i. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 22 note 4. A de Grève, le 23. III. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 22 note 5. A de Grève, le 11. v. 1595, F. A., 2, 1, 35.

page 22 note 6. A Entzesperger, le 9. v. 1591, le 20. vi. 1591, F. A. ,2,1, 35. Ils comptaient avec la possibilité de parvenir à détacher leur part à 53-55. Lettre à Hunger, le 4. vu. 1591, même chose ; aux Otti, le 4. i. 1592, F. A., 2, 1, 34 c.

page 22 note 7. Lettre à Hunger, le 12. ix. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 23 note 1. Aux Otti, le 18. iv. 1592, F. A., 2, 1, 34 c ; cf. aussi Braudel et Romano, Navires et marchands à l'entrée du port de Lieourne, p. 57, 96 et suiv.

page 23 note 2. A Entzesperger, le 12. ix. 1591, F. A., 2, 1, 35.

page 23 note 3. A Entzesperger, le 27. vi. 1591, F. A. 2, 1, 35.

page 23 note 4. Cf. page 3.

page 23 note 5. A Daniel Rindfleisch, à Anvers, le 10. XII. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 23 note 6. Palavicini.

page 23 note 7. A Schorer et Speidel à Londres, le 15. iv. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 23 note 8. A Tradel, le 31. XII. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 23 note 9. A Speidel et Schorer à Londres, le 24. XII. 1592, F. A., 2, 1, 35.

page 24 note 1. Au début d'avril ils firent le projet suivant : si on leur donnait le quintal à 30 ducats 10 real, exporté en franchise douanière, et si cette somme était payée en 12 mois, ils étaient prêts à abandonner leur action et à acheter environ 1 500 quintaux. Un projet de même date comportait les clauses suivantes : les Fugger étaient prêts à abandonner leurs 1 700 (ou 1750) quintaux au prix de 16 (£?) par quintal, contre une obligation de la reine de payer cette somme (environ 27 000 £) dans les trois ans. Si cette transaction passait, ils renonceraient à leur gratification de 3 000 ducats.

page 24 note 2. Lettre à Speidel et Schorer, à Londres, le 19. iv. 1593, F. A., 2, 1, 35.

page 24 note 3. A Tradel, à Middelbourg, 1. iv. 1593.

page 24 note 4. Ehrenberg, Hamburg und England im Zeitalter der Koningin Elisabeth, Iéna, 1896, p. 296. Cf. aussi Kellenbenz, ouvr. cité, p. 93.

page 24 note 5. Cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 93. Braudel-Romano, ouvr. cité, p. 57.

page 24 note 6. Cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 21 et suiv., 291 et suiv.

page 25 note 1. Cf. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 182.

page 25 note 2. Cf. A. G. Simancas, Estado 2852.

page 25 note 3. Le plus grand navire avait 50 canons et 250 hommes à bord. Le petit, 20 canons. Mémoire de Kampferbeck du 8. III. 1611. A. G. Simancas, Estado 2852.

page 25 note 4. Kellenbenz, ouvr. cité, p. 21 et suiv.

page 26 note 1. Sur cette question, cf. H. Kellenbenz, Spanien, die nôrdlichen Niederlande uni der skandinavisch-baltische Raum in der W eltwirtschajt und Politick um 1600, dans V. S. W. G., 1954.

page 28 note 1. Cf. H. Watjen, Die Niederlànder im Mittelmeergebiet, 1909 ; N. W. Posthumus, Inquiry into the history of priées in Holland, vol. t., Leiden, 1946, p. 174 et suiv.