page 156 note 1. Sinon, pour signaler, ce que Mr Espinas n'a pas voulu faire, que son plan de Douai eût dû être rais en regard des plans de villes exposés, en si grand nombre, par nos amis belges. Pourquoi avoir également laissé de côté le matériel réuni par Mr Lavedan, dans son Histoire de l'urbanisme ?

page 156 note 2. En corrigeant les épreuves, je m'aperçois que le « programme » publié dans le Bulletin of the International Committee o/ Historical Sciences, février 1933, p. 194 et suiv., , excluait, avec les cartes « anthropologiques » (le mot n'est pas très clair), les cartes « archéologiques ». Dont acte, non sans regret d'ailleurs : en quoi une carte de la répartition des trouvailles monétaires est-elle plus «historique » qu'une carte de la répartition des dolmens ? Mais cette exclusion, en fait, n'a pas été observée, et ne pouvait l'être par les pays qui, possédant, comme ! ‘Allemagne, des atlas historiques provinciaux n'ont eu garde d'en éliminer l'archéologie.