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Dans l'Italie, a l'Intérieur des Terres : Sienne de 1221 a 1229
Published online by Cambridge University Press: 25 October 2017
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Les historiens, les juristes et les économistes qui ont étudié l'activité commerciale et l'emploi des capitaux en Italie, du milieu du XIIe siècle à celui du XIIIe, ont établi une distinction entre les villes maritimes et les villes à l'intérieur des terres. Dans les villes mari-, times, et d'une façon plus particulière dans leur trafic par mer, les risques ont incité à concevoir séparément chaque opération, tandis que, dans les villes de l'intérieur, surtout dans leur trafio local ou uniquement terrestre, les rapports entre les commerçants, ou entre les commerçants et les capitalistes, ont été plus étroits et prolongés: le contrat typique était, dans les premières, celui qui liait un commerçant partant au loin à un capitaliste demeurant sur place (commenda et societas maris), dans les secondes, celui qui, dérivé des accords en famille (compagnie:), réservait une place dans une activité combinée et régulière à des employés ou à des compétences reconnues, ainsi qu'à des personnes disposant de capitaux qu'elles avaient gagnés elles-mêmes et désireuses de poursuivre leur activité.
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- Copyright © Les Éditions de l'EHESS 1931
References
page 189 note 1 Cf. André-É. Sayous, Les transformations des méthodes commerciales dans l'Italie médiévaledans Annales,t. I, 1929, p. 166-168.
page 189 note 2 Levin Goldschmidt, t. I, fascicule I, 3e éd. du Handbuch des Handelsrechts : Universalgeschichte des Handelsrechts(jusqu'à la fin du moyen âge), Stuttgart, 1891, p. 254. — A Gênes, cela était une règle à peu près absolue vers 1168 (cf. les actes du notaire Scriba dans les Monumenta historiée patrise, Chartarum,t. II, passim); c'était vrai, sauf de très rares exceptions uniquement dans le commerce terrestre, en 1191 : Chiaudano, Contratti genovesi delsecolo XII,Turin, 1925, Appendices XXII et XL, et s'était encore peu modifié entre 1246 et 1278 : L. T. Belgrano, Documenti riguardanti le due Crociate di San Ludooico IX,Gênes, 1859 (cf. les textes, car les résumés en tête de ceux-oi confondent souvent les opérations occasionnelles de plusieurs personnes avec les opérations de personnes unies par un lien de société, comme ce n'était guère le cas que pour quelques banquiers, originaires souvent de Plaisance).
page 189 note 3 Levin Goldschmidt, ouv. cité, p. 271.
page 189 note 4 Weber, Max, Zur Geschichte der Handelsgesellschaften im Mittelalter, Stuttgart, 1889, p. 128 Google Scholar et suiv. ; ouvrage trop critiqué par ceux qui connaissent surtout, sinon exclusivement, le trafic des villes maritimes.
page 189 note 5 Adolphe Schaube, Rechtsgeschäfte und Rechtstellung der« Lombarden” in der àlteren Zeit ihres Auftretens in Frankreich,Zeitschrift fur das gesammle Handelsrecht,1908, p. 302, a observé, avec raison, que les actes de notaires relatifs à Alba, Scrivia, Novi, etc., et publiés par la Societa ligure di Storia patriaet la Societa storica subalpina n'avaient pas un tel caractère pour avoir été extraits des archives de Gênes ; mais il s'attendait à ce que la découverte de nouveaux documents confirmât les conclusions basées sur ceux que l'on possédait.
page 190 note 1 Ouv. cité, p. 28 et 239.
page 190 note 2 Cf. André-É. Sayous, Le commerce terrestre de Marseille au XIIIe siècledans Revue historique,janvier-février 1930.
page 190 note 3 Schaube, AD., Handelsgeschichte der romanischen Volher des Mittelmeergebiels bis zum Ende der Kreuzziige, Munich, 1906, p. 340 Google Scholar.
page 190 note 4 Douglas, Langton, Histoire de Sienne, trad. franc., Paris, 1914, t. I, p. 30 Google Scholar.
page 190 note 5 AD. Schaube, Ouv. cité, p. 338 ; point confirmé par un connaisseur de l'histoire de la Toscane au moyen âge, Fedor Schneider ; voir son compte rendu du livre de Schaube dans Vierteljahrschrift fur Social- und Wirtschaftsgeschichte,1907, p. 574.
page 190 note 6 On peut le croire : Paoli, , Siena aile fiere di Sciampagna, Sienne, 1898, p. 19 Google Scholar, car l'activité brillante du xin” siècle suppose auparavant une assez longue période de travail et de succès, plus, il est vrai, que le démontrer par des documents.
page 190 note 7 Layettes du Trésor des Chartes,t. III, n° 3811 (prêt consenti à Damiette en septembre 1249).
page 191 note 1 Zdekauer, L., Il menante senese neldugento, Sienne, nouvelle édition de 1925, p. 11 Google Scholar ;—Ageo Arcangeli, Gîi istituti del diritto commerciale nelcostituio senese del 1310 dans Rivista di diritto commerciale,1906, 1” partie, p. 243-244 ; — L. Douglas, Ouv. cité, p. 30.
page 191 note 2 Florence a eu, à la même époque, une activité intéressante, mais Robert Davidsohn, l'historien de cette ville, affirme qu'il n'y existe plus d'actes de notaires antérieurs à la seconde moitié du xin8 siècle. Peut-être cependant, Mr Sapori, l'excellent archiviste et médiéviste, y trouvera-t-il des documents permettant de préciser pour elle les conclusions de cet article sur le commerce des villes intérieures de l'Italie vers 1200-1250.
page 191 note 3 Question qu'il serait intéressant d'approfondir, mais déjà résumée par A. Arcangeli, ouv. cité, p. 248. Cf. Arias, Gino, Studi e documenti di storia del diritto, Florence, 1901, p. 15 Google Scholar.
page 191 note 4 L. Douglas, Ouv. cité, p. 29.
page 191 note 5 F. Piccolomini Bandini, Carte mercantili Piccolomini del secolo XIIIdans Miscellanea storica senese,mai-juin 1898, p. 69.
page 191 note 6 L. Douglas, Ouv. cité, p. 30 ; source discutable.
page 191 note 7 Sur les Siennois aux foires de Champagne, notamment de 1216 à 1222, voir Bourquelot, F., Études sur les foires de Champagne, Paris, 1865 Google Scholar, dans Mémoires présentés par divers savants àl'Académie des Inscriptions (série 2,t. V), v. I, p. 189; v. II, p. 121 et 125.
page 191 note 8 Voir plus loin p. 194.
page 191 note 9 De Jubainvit, H. D'Arbois Le, Histoire des Ducs et Comtes de Champagne, Paris, 1863 Google Scholar ; dans le t. V, nombreuses indications de prêts consentis par des Siennois ; en ce qui concerne 1221, cf. n« 1349 et 1398.
page 191 note 10 Schulte, Alois, Geschichte des Mittelalterlichen Handels und Verkehrs zwischen Westdeutschland und Italien, mit Ausschluss von Venedig, Leipzig, 1900,1.1, p. 247 Google Scholar.
page 191 note 11 Pressutti, , liegesta Honorii papae III, Rome, 1888 Google Scholar et 1895, t. I, n°» 935, 939 (1217),2133, 2158 (1219) ;t. II, n°” 5979 et 5980 (1226).
page 192 note 1 Deux mandements du pape Honorius III en date des 2 août et 30 septembre 1221 : Levi, Cf. Guido,Registrideicardinali Ugolini d'Ostiaet Ottaviano degli tftaWini, Rome, 1890, p. 152 Google Scholar, le démontrent. Nous reviendrons sur ces mandements.
page 192 note 2 Jordan, É., De mercatoribus camerae apostolicae seculo XIII, Rennes, 1909, p. 9 Google Scholar ; — Gottlob, Adolf, Pàpstliche Darlehensschulden des 13. Jahrhunderts dans Ilistorisches Jahrbuch, 1899 Google Scholar, — Kwiale Pràlatenanleihcn im 13. Jahrhunderldans Vierteljahrschift fur Social- und Wirtschaftsgeschichte,1.1,1903, p. 345 ; — Schneider, Georg, Die finanziellen Beziehungen der florenlinischen Bankierszur Kirche, 1285-1304, Leipzig, 1899, p. 5.Google Scholar
page 192 note 3 SeulL. Zdekauer en a utilisé quelquespassages pour illustrer et compléter son ancienne conférence sur II menante senese nel dugento.
page 192 note 4 Indice di due antichi libri di imbreviature notarili,série de la Commissione senese di Storia patria,Sienne, 1912. La bonne préface de Mr Lisini ne traite guère des questions qui nous préoccupent surtout. La principale lacune de cette publication, en dehors, bien entendu, de trop nombreux résumés au lieu de reproductions intégrales, consiste en un index beaucoup trop sommaire, relatif presque exclusivement aux choses, alors qu'un répertoire des personnes aurait une valeur toute spéciale pour des études comme la nôtre.
page 192 note 5 Contratti cambiarii di mercanti senesi nel 1228dans Miscellanea senese di erudizione storico,avril 1903.
page 193 note 1 Les principales études sur les sociétés siennoises au u n ‘ siècle, celles d'Ageo Arcangeli (citée plus haut), de Senigaglia, Le compagnie bancarie senesi nei secoli XIII e Xiv dans Studisenesi, t.XXIV, fasc. III, IV et V, de M“1” De Roonbassermann, Sienische Handelsgesellschajten des 13. jahrhunderts,Mannheim, 1912, se rapportent à une époque postérieure à celle que nous allons exposer, et à des situations nettement différentes ; elles ne feront, ici, l'objet que de références. Par ailleurs, nous comptons préciser notre point de vue général sur les sociétés commerciales siennoises à partir de 1230 en étudiant les opérations des Siennois et Placentins à Marseille au. XIIIe siècle.
page 193 note 2 Les références sans indication d'ouvrage se rapportent aux résumés d'actes siennois, page (p.) et au rang du contrat dans la page (c).
page 193 note 3 Schneider, Fedor, Begestum senense, Rome, 1911 Google Scholar, t. I, a publié un nombre considérable de contrats qui permettent de préciser ces points.
page 193 note 4 Cf. Lisini, ouv. cité, p. XV ; — Fedor Schneider, Begestum,p. XXIV; — L. Douglas, Ouv. cité, p. 29.
page 193 note 5 Lisini, p. XV.
page 193 note 6 Ibid.,v.XIV.
page 193 note 7 Elisabeth Von Roon-Bassermann, Ouv. cité, p. 3, a certainement trop avancé l'époque où le trafic des marchandises a décliné à Sienne en la fixant à la « seconde moitié du XIIe siècle».
page 194 note 1 Ouv. cité, p. 30.
page 194 note 2 Lisini, p. XH.
page 194 note 3 Ibid.,p. 5, c. 4 ; p. 12, c. 3 ; p. 24, c. 2 ; p. 35, c. 1 ; p. 37, c. 7 ; p. 41, c. 3 ; p. 45, c. 1 ; p. 48, c. 6 ; — l'une des deux sociétés n'y est pas la même que dans les autres contrats ; — p. 65, c. 6 ; p. 72, c. 3 ; p. 73, c. 5 et 6 ; p. 74, c. 1 ; p. 78, c. 2.
page 194 note 4 Ibid.,p. 73, c. 1.
page 194 note 5 Ibid.,p. 52, c. 3. Tableau de la famille des Tolomei, publié par E. Von Roohbassermann, ouv. cité, en appendice.
page 195 note 1 Fbdor Schneider, Regestum senense,p. 172.
page 195 note 2 Lisini, Cacciaconti et Folcacchieri, p. 114, c. 3, et 75, c. 5 ; — Malavolti, p. 26, c. 2 ; p. 46, c. 1 ; p. 77, o. 6 ; pour l'association avec les Buonsignori, voir É. Jordan, De meroatoribus,p. 19.
page 195 note 3 Pattetta, Caorsini Senesi in Jnghilterradans Bulletino senese di Storia patria, 1897, p. 321.
page 195 note 4 Muratori, , Antiquitates Italiae medii aevi usque 1500, Milan, 1738 Google Scholar, t. I, p. 889 ; — É. Jordan, Ouv. cité, p. 10.
page 195 note 5 Edw. A. Bond, Loans supplied by italian marchants to the Kings of England in the 13th and 14th Centurydans Archaeologia,1840, p. 276.
page 195 note 6 E. Von Roon-Bassermann, Ouv. cité, p. 48.
page 195 note 7 Auvray, , Les registres de Grégoire IX, Paris Google Scholar, t. II, 1899, n° 2 727.
page 196 note 1 Lisini, p. 427, c. 3 ; p. 78, c. 3.
page 196 note 2 Zur Gesellschaftsliste der Buonsignoridans Hislorisches Jahrbuch,1901, p. 722. 3. E. Von Roon-Basskrmann, ouv. cité, p. 48.
page 196 note 4 Les documents cités par E. Von Roon-Bassermann, p. 55, sont postérieurs. Le nom du premier Salimbene connu était bien, au moins tout d'abord, Salimbene di Giovanni.
page 196 note 5 Lisini, p. 129, c. 4.
page 196 note 6 Ibid., p. 93, c. 2 ; p. 96, c. 2 et 3 ; p. 98, c. 5 ; p. 107, c. 1 ; p. 108, c. 4.
page 196 note 7 P. 129, c. 4.
page 196 note 8 P. 88, c. 1 ; il doit s'être glissé une erreur sur le montant des provinois soit dans ce texte, soit dans l'acte antérieur ; on ne peut pas tirer de conclusion de la différence des parités.
page 196 note 9 P. 97, c. 3 ; p. 133, c. 7 ; p. 135, c. 3.
page 197 note 1 P. 135, c. 4.
page 197 note 2 É. Jordan, La faillite des Buonsignoridans Mélanges Paul Fabre,p. 432.
page 197 note 3 Le Ramerius Salimbene qui avait participé en 1226 à un prêt fait à l'archevêque de Cologne (cf. L. Ennen et G. Eckertz, Quellen zur Geschichte derStadt Kôln,Cologne, 1863, n° 108), appartenait probablement à la famille des Salimbeni di Giovanni, mais nous n'en avons trouvé aucune preuve.
page 197 note 4 Les textes latins de Sienne emploient uniquement le mot societas,que nous avons conservé.
page 198 note 1 P. 1, c. 5.
page 198 note 2 P. 53, c. 7.
page 198 note 3 Schneider, Fedor, Begestum volterranum, Rome, 1907, p. 139 Google Scholar.
page 198 note 4 Arcangeli, Ouv. cité, p. 347.
page 198 note 5 Plus nous étudions les textes du moyen âge, plus nous sommes persuadé que les questions qui nous frappent aujourd'hui particulièrement dans l'ordre juridique ne se posaient pas alors, tout au moins avec la même précision qu'aujourd'hui.
page 199 note 1 P. 33, c. 4 ; p. ,84, c. 5.
page 199 note 2 P. 52, c. 3.
page 199 note 3 Aussi bien Ageo Arcangeli que Senigaglia sont d'un avis contraire ; ils se rattachent aux principes plutôt qu'ils n'ont considéré les faits.
page 200 note 1 P. 47, c. 2 ; p. 97, c. 3, etc. ; p. 125, c. 1 ; p . 47, c. 1.
page 200 note 2 Piccolomini, ou plus exactement Mengozzi, Il monte dei Paschi di Sienna, Sienne, 1891, t. I, p. 11. L'usure faisait naître des remords chez les prêteurs : G.SÀNesi, Il testamento di uno prestatore senese nello Champagne, 1238dans Bolletino senese di Storia patria,1897, fasc. I, p. 115.
page 200 note 3 A Sienne, le prêt sur gages a mené, dès le xve siècle, à la création d'un « Mont-de- Piété” (Piccolomini et Mengozzi, Ojv. cité, p. 6). Les Siennois n'ont pourtant jamais été confondus avec les usuriers dont Sylvain Koch nous a entretenu dans Italienische Pfandanleihen im nordischen und ôstlichen Frankreich,Breslau, 1904.
page 201 note 1 Voir plus bas ce que nous disons du remboursement des dépôts à Pise.
page 201 note 2 P. 5, c. 3 ; p. 14, c. 2 ; p. 77, c. 6 ; p. 78, c. 1.
page 201 note 3 Bonaini, , Statuti pisani, Florence, 1857, t. II, p. 931–932 Google Scholar.
page 201 note 4 Regestum volterranum,p. 79.
page 201 note 5 Senigaglia, ouv. cité, fasc. V, appendice 4.
page 201 note 6 C'est donc à tort que Raymond Saleilles, Étude sur l'histoire des sociétés en commanditedans Annales de droit commercial,1895, p. 23, a dit que, jusqu'au xi\B siècle, il y a eu des prêts ou dépôts sans lien de société.
page 201 note 7 Guido Levi, Ouv. cité, p. 152.
page 202 note 1 Gottlob, Pàpstliche Darlehensanleihen,p. 673.
page 202 note 2 Cf. la communication de Mr ÉD. Jordan, Le Saint-Siège et les banquiers italiens, faite à la Ve section du IIIe Congrès scientifique international des Catholiques,Bruxelles, 1895, p. 292.
page 202 note 3 Cf. André-É. Sayous, Le commerce terrestre de Marseille au XIIIe siècle,p. 34.
page 202 note 4 Cf. André-É. Sayous, Le commerce des Européens à Tunis du XIIe siècle à la fin du XVIe,Paris, 1929, p. 54.
page 203 note 1 P. 73, c. 4 ; p. 129, c. 4 ; p. 73, c. 2.
page 203 note 2 P. 11, c. 1 ; p. 47, c. 7 ; p. 57, C. 2 ; p. 69, C. 6 ; p. 170, c. 6 ; p. 73, C. 2 et 14.
page 203 note 3 F. Piccoiomini Bandini, Contratti cambiarii ;voir les cinq documents annexes (cf. p. 9).
page 203 note 4 P. 100, c. 3.
page 204 note 1 E. Von Roon-Bassermann, Die Champagnermessen,p. 57 (mais un siècle après l'époque pour laquelle nous faisons cette constatation).
page 205 note 1 A. Schaube, Die Versicherungsgedanke in den Vertràgen des Seeverkehrs vor der Entstehung des V’ ersicherungswesensdans Zeitschrift jûr Social- und Wirtschajtsgeschichte, t. II.
page 205 note 2 Cf. notre article des Annales,t. 1, 1929, p. 165.
page 205 note 3 Cf. nos deux articles sur les Manduels, de Marseille, dans Revue des questions historiques, 1930, et Revue d'histoire économique et sociale,1929.
page 205 note 4 André-É. Sayous, Le commerce de Marseille avec la Syrie au milieu du XIIIe siècle dans Revue des études historiques,1929.
page 205 note 5 Selon nous, c'est de la société en nom collectif que la société en commandite est dérivée (cf. dans le même sens, G. Arias, La Societadi commercio medievali in rapporta con la Chiesadans Archivio délia R. Sociela romana di Storia patria,1906, p. 371).
page 206 note 1 Dans Bévue historique,1930, t. CLXIII, p. 49.
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- Cited by