page 522 note 3. Metz et la Moselle de 1814 à 1870. Nancy, Société d'impressions typographiques, 1932 ; 2 vol. in-8°, 496 et 426 p. Du même auteur, Les conséquences financiéres des inuasions de 1814 et 1815 dans les départements de la Moselle et de la Meurthe. Metz, les Arts graphiques, 1932; in-8°, 99 p. (Thèse complémentaire).

page 523 note 1. « Les 12 premières années de l'Empire ont été la période du plus fort accroissement de la natalité en France » (A. Meynier, Une erreur historique, les morts de la grande armée et des armées ennemies dans Revue des études napoléoniennes, janvier 1930). — Cf. notre article sur L'émigration alsacienne sous l'Empire et ou début de la Restauration dans Revue historique, t. CLXV, 1930, p. 262.

page 523 note 2. Cf. Annales, t. II, 1930, p. 280.

page 523 note 3. Cette région était économiauement orientée vers l'Alsace : les forges de Mouterhouse appartenaient aux Dietrich et celles de Baerenthal aux manufacturiers Coulaux, de Mutzig. — Des verreries, les plus importantes (Goetzenbrûck) avaient en 1830 un dépôt à New York et. furent atteintes par la crise américaine de 1837.

page 523 note 4. A titre comparatif, voir Viahd, Paul, La disette de 1816-1817 particulièrement en Côle-d'Or dans Revue historique, t. CLIX, 1928, p. 95–118 Google Scholar, Guéneau, Louis, La disette de 1816-1817 dans une région productive de blé, la Brie dans Revue d'histoire moderne, t. IV, 1929, p. 18–46 Google Scholar et 81-95, et Robert Marjolin, Troubles provoqués en France par la disette de 1816-1817, ibid., 1933, p. 423-460.

page 524 note 5. Voir les remarques de Mr Marc Bloch, Histoire rurale et statistique : à propos d'une étude sur la Côte-d'Or dans Annales, t. V, 1933, p. 493.

page 524 note 1. C'est ainsi que l'usine de Stiring fut mise en marche en 1853 à la suite des commandes de rails de la C” du chemin de fer de Paris à Strasbourg, qui prêta des Capitaux et consentit des tarifs réduits de transport. Charles de Wendel comptait parmi ses administrateurs.

page 524 note 2. Sur le traité de commerce franco-anglais de 1860, voir l'ouvrage de Mr A. L. Dunham et le compte rendu de Hr Lefebvre dans Annales, t. III, p. 614-616. —Par comparaison avec la métallurgie landaise, voir les articles de Mr A. Richard (cf. Annotes, ibid., p. 473-474).

page 524 note 3. L.-M. Jouffroy, Une étape de la construction des grandes lignes de chemins de fer, la ligne de Paris à la frontière d'Allemagne (1825-1882), Paris, J. Barreau et C'e, 1932, 3 vol. in-8°. Cf. Annales, t. VI, 1934, p. 173.

page 524 note 4. L'auteur parle de l'usure judaïque sans précision. Voir notre article, L'usure judaïque en Alsace sous l'Empire et la Restauration dans Annales historiques de la Révolution française, 1930, p. 231-252. — Dès 1823, il y eut à Metz une société Israélite pour l'encouragement des arts et métiers. En 1843, le tribunal de Metz prescrit un serment « more judaico » dans un procès entre deux Juifs. Le Consistoire amena un des plaideurs à abandonner l'affaire : trait de moeurs et date dans leur histoire. (Cf. S. Posener, A. Crémieux, Paris. F. Alcan, 1933, t. I, p. 76-87.)