The importance of age as a factor of social grouping amongst East African peoples has long been recognized. Amongst the Kuria, a Bantu-speaking people who have been culturally influenced by Nilo-Hamitic neighbours, two distinct forms of age-grouping exist. In one ‘age-sets’ are recruited at regular provincial ceremonies of initiation, the historical sequence of sets then serving to rank their members by age seniority. In the other ‘generation classes’ are recruited according to a fixed cycle of named classes where the children of the men of one class are automatically ascribed membership of the succeeding class and where norms of coevality apply to each class in sequence. These two forms of age-grouping are institutionally distinct (status in one is in no way ‘tied’ to status in the other) and they operate in different ways within the society. Although both belong to what may empirically be called Kuria age-organization, they can conveniently be described separately. The following paper describes the generation classes.
LES CLASSES DE GÉNÉRATION CHEZ LES KURIA
Les Kuria, qui demeurent à l'est du lac Victoria à travers la frontière du Kenya et du Tanganyika, parlent une langue bantoue et ont été influencés culturellement par des voisins nilochamitiques. Leur organisation d'âge comprend (i) un systeme de groupes, formés selon l'âge, qui sont rétablis à des cérémonies communales périodiques d'initiation, et (ii) un système de classes de génération qui sont institutionnellement différentes des groupes susmentionnés. Huit classes sont divisées en deux cycles chacun comprenant quatre classes. L'association est patrilinéaire et inscrite à la naissance selon la génération—grand-père, père, fils, petit-fils, etc., dans un cycle continu. Ces parents de lignée sont généralisés pour tous les members de chaque cycle, dont la conduite vers l'un et l'autre est déterminée par les règies associées avec leur parenté. Des cérémonies communales, concernées avec la maturation sociale des classes, sont exécutées par chaque classe de chaque cycle dans une série alternative. Quoiqu'elles soient peu importantes comme moyen de désigner la position sociale, ces cérémonies ont l'effet de normaliser pour les classes le rang achevé individuellement par les membres de la classe: la contemporaineté devient ainsi une autre caractéristique des classes qui sont ainsi placées contre la structure des communautés Kuria. Dans la vie sociale les classes se dirigent comme groupes seulement pour des buts rituels limités. Leur importance sociale plus générale est celle d'une collection de catégories qui règlent et formalisent la conduite sociale dans une variété de situations. Elles sont hors de l'organisation de la société mais aident dans la création de conditions sociales dans lesquelles cette organization peut se conduire effectivement. Les classes de génération des Kuria forment partie d'une plus grande catégorie d'institutions semblables qui se trouvent chez la plupart des peoples qui parlent le kikuyu et chez une masse de petites tribus (Ngoreme, Ikoma, Naata, et d'autres) qui se trouvent au sud des Kuria.