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Au Basutoland ainsi que dans beaucoup d'autres tribus indigènes du Sud de l'Afrique, il arrive souvent que le magistrat dans son office, ou le missionnaire à son bureau, doit écrire les noms et prénoms des individus, soit pour la célébration d'un mariage, ou d'un baptême, soit pour quelqu'autre raison.
page 83 note 1 Dérivé de la racine bantoue, koni; , Sotho, lihlongGoogle Scholar; Ila, insoni: honte.—Réd.
page 86 note 1 Cette coutume qui permet à certains individus de s'adresser mutuellement des injures a été signalée au Soudan occidental par Labouret, M. H. (‘La Parenté à Plaisanteries en Afrique occidentale’, Africa, vol. ii, p. 244)Google Scholar et par Pauline, Denise (Africa, vol. xii, p. 433).Google Scholar D'après Mr. Pedler, F. J. (‘Joking Relationships in East Africa’, Africa, vol. xiii, p. 170)Google Scholar elle existe aussi en Rhodésie et dans d'autres tribus africaines. Voir aussi ‘On Joking Relationships’, par Radcliffe-Brown, A. R. (Africa, vol. xiii, p. 195)Google Scholar.
page 88 note 1 Anthropos, 1908, p. 588.Google Scholar
page 88 note 2 The Bantu-speaking Peoples of South Africa (1937), p. 265.Google Scholar
page 89 note 1 The Soul of the Bantu, p. 84.
page 91 Note: Readers of Sir Walter Scott will recall how the Antiquary promised to cease teasing his nephew about a certain seal—phoca he called it. ‘I will not even speak of sealing a letter, but say umph, and give a nod to you when I want the wax-light.‘—Editor.