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The Identification and Assessment of Mortuary Features
Three Case Studies from Ontario
Published online by Cambridge University Press: 22 August 2017
Abstract
The decision as to whether or not to excavate ancient Native mortuary features will require information on their extent and nature. This raises the question of how reliably these aspects can be assessed from the initial exposure of the feature, at its uppermost undisturbed level. In three Ontario cases in which the negotiators decided on full excavation of the features, it is possible to compare the initial assessments to the excavation results. In general, the information obtained in the initial assessments was accurate enough to allow the negotiating parties to make an informed decision, and to assist the archaeologists in their interpretation of the site. However, a major problem with initial assessments is that they sometimes fail to identify features containing only disarticulated minor skeletal elements, leading to an underestimation of the scope of the situation. The solution recommended here is to have a bioarchaeologist on the excavation team to promptly identify and assess any mortuary features and, when necessary, to excavate them.
La décision de fouiller ou non d'anciens vestiges mortuaires autochtones nécessitera de plus amples renseignements sur leur étendue et leur nature. Ceci soulève une question de fiabilité d’évaluation de ces éléments, de l'exposition initiale de ces vestiges à celle du niveau le plus profond et non perturbé. Dans trois cas ontariens dans lesquels les négociateurs ont choisi la fouille complète des vestiges, il est possible de comparer les évaluations initiales aux résultats des fouilles. En général, les informations obtenues lors des évaluations initiales étaient suffisamment précises pour permettre aux équipes de négociation de prendre une décision éclairée et ainsi aider les archéologues dans leur interprétation du site. Par contre, un problème majeur des évaluations initiales est qu'elles négligent parfois d'identifier les vestiges contenant uniquement des éléments squelettiques mineurs désarticulés, ce qui sous-estime la portée de la situation. La solution recommandée est d'avoir un bioarchéologue au sein de l’équipe de fouille pour que ce dernier puisse identifier et évaluer rapidement n'importe quels vestiges mortuaires et, le cas échéant, les fouiller.
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