Alors que l'essai de Roger Priouret, La Franc-maçonnerie sous les lys (1953), se présentait sans mystère au public non initié, Les Ducs sous l'Acacia exigeaient un sous-titre. M. Pierre Chevallier l'a choisi en traduisant un symbole ignoré de quelques « profanes » et en limitant son étude à la première génération des ducs qui fréquentèrent les loges du XVIIIe siècle. Le texte est dense dans sa présentation matérielle et par le nombre des questions soulevées. L'Introduction dit la difficulté de l'entreprise, présente sommairement les sources, situe l'auteur « servus veri », formule des remerciements. Nous soulignerons ceux qui s'adressent à M. Roger Lecotté qui, pendant plus de vingt ans, a été chargé du Fonds maçonnique à la Bibliothèque nationale et envers qui les historiens et apprentis-historiens en sociétés secrètes ont contracté une dette immense.