1 Daniel Rivet, Lyautey et l'institution du protectorat français au Maroc, 1912-1925, Paris, Éd. L'Harmattan, 1988.

2 Pour le premier, on en trouve une illustration dans son adresse aux dignitaires de l’État ottoman, forme d'appel au secours : Muḥammad Bayram, « Taqrīr al shaykh Muḥammad Bayram al khāmis ilā rijāl al dawla al ‘uṯmāniyyīn [Déclaration du cheikh Muḥammad Bayram V aux hommes d’État ottomans] », éd. par ‘Abd al Jalīl al-Tamīmī, Majalla al-tārīkhiyya al maghāribiyya, 18, 1991, p. 61-62. Muḥammad al-Sanūsī donne son interprétation de la souveraineté tunisienne sous protectorat dans sa Riḥla al-ḥijāziyya [Voyage au Hejaz]. Voir Anne-Laure Dupont, « De la demeure du califat aux ‘découvertes parisiennes’. Muhammad al-Sanûsî (1851-1900), un lettré réformiste tunisien à l’épreuve du Protectorat français », in N. Clayer et E. Kaynar (dir.), Penser, agir et vivre dans l'Empire ottoman et en Turquie, Paris, Peeters, 2013, p. 47-65.

3 « Taqrīr al-marḥūm al-za‘īm Abd-al ‘azīz al-Ṯa‘ālbī [declaration du défunt leader Abd-al ‘azīz al-Ṯa‘ālbī] » (juill. 1943), in Mā’sāt ‘arsh. Salsala min al-ḥaqā’iq al-tārīkhiyya w-al-waṯā’iq al-siyāsiyya [La tragédie du trône. Séries d'enquêtes historiques et d'archives politiques], al-ḥizb al-ḥurr al-distūrī al-tūnsī, s. d., p. 33.