Hostname: page-component-cd9895bd7-p9bg8 Total loading time: 0 Render date: 2024-12-24T13:20:58.737Z Has data issue: false hasContentIssue false

Richard Duncan-Jones, Money and Government in the Roman Empire, Cambridge, Cambridge University Press, 1994, 300 p.

Published online by Cambridge University Press:  26 July 2017

Abstract

Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Économie et société dans l'Antiquité (comptes rendus)
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1995

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

1. Cette interprétation n'est d'ailleurs que la conséquence logique des analyses des économistes classiques (Smith, par exemple) qui attribuent à la monnaie un rôle marginal. Cette thèse a été ensuite reprise et développée par Marx qui n'attribue qu'un rôle secondaire à la monnaie, et, tout comme les classiques, nie l'importance du fait monétaire jusqu'à la « divine surprise » des métaux des Amériques.

2. L'introduction de techniques quantitatives et les premières démonstrations des évidences sont l'œuvre de Richard REECE, au milieu des années soixante.

3. Les chercheurs qui se sont inscrits dans l'hypothèse primitiviste ont eu tendance à minimiser le rôle de la banque dans l'Antiquité. Bogaert, par exemple, s'est en réalité plus attaché à l'étude des changeurs banquiers en tant que personnes physiques qu'à l'importance et au rôle de la banque et des sociétés bancaires (personne morale), dans les affaires d'État.

4. Sur le livre très discutable de Delamare, François, Le frai et ses lois, Paris, CNRS Editions, Cahiers Ernest-Babelon, 5, 1994 Google Scholar qui critique certains travaux de R. Duncan-Jones, voir mon compte rendu dans Histoire et Mesure,1995