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C. R. Ageron, Les Algériens musulmans et la France (1871-1919), vol. I, Paris, P.U.F., 1968, 2 vol., x + 298 p.

Published online by Cambridge University Press:  25 May 2018

Abstract

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Type
L'Espace Parisien
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1975

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References

1. Les notes infra-paginales sont de ce point de vue aussi importantes que le texte 4e la thèse lui-même.

2. Je n'ai pas la place ici, même sommairement, de discuter les problèmes sur lesquels Ageron diverge d'avec moi (le séquestre dans le Constantinois ; l'appauvrissement durant la Première Guerre mondiale).

3. Dois-je dire que cette remarque soulève la question du rôle du directeur de thèse : selon le tempérament de chaque chercheur, et aussi la direction de la thèse, alors celle-ci prend des dimensions plus ou moins importantes ; et du même coup, lorsqu'elle est aussi vaste que celle dont nous nous occupons, elle pose le problème à différents niveaux.

4. M. Ageron n'emploie pas le mot, mais à suivre le déroulement des faits, il est clair que l'application de certaines idées est systématique.

5. Je me réfère à deux faits, l'un oral, l'autre écrit. Oral : le témoignage d'un vieillard de la Haute-Loire (78 ans en 1950) qui me décrivait le Constantinois du temps qu'il était soldat, au début du siècle ; rien n'y manquait sur le plan folklorique et sociologique : les « moukères », les « sauvages », etc. Écrit : un journal d'ancien militaire ; il commence en septembre 1844 et décrit abondamment le pays et ses habitants : sa vision des Arabes est édifiante pour l'historien et rejoint le témoignage oral.

6. Cf. A. Nouschi, « De quelques erreurs utiles», dans Les cahiers de Tunisie,1966; « Gli Europei in Algeria dal 1830 al 1954» dans Studi Storici,1964.

7. Voir G. Haupt et M. RebéRioux, LaDeuxième Internationale et l'Orient,p. 1967 ; Nouschi, Un cas ambigu : le Maghreb.