No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 25 May 2018
1. Voir Annales E.S.C., mars-avril 1970 : « Les Mozarabes de Tolède (de 1085 à la fin du xiiie siècle. » Reproduit en espagnol dans Conflictos sociales y estancamiento econômico en la Espana médiéval, Barcelone, 1973.
2. Il est abusif de parler comme elle le fait des « chrétiens » pour les opposer aux Mozarabes. Les uns et les autres sont chrétiens au même titre.
3. Los Mozárabes de Toledo en los siglos XII y XIII, 4 vol., Madrid, 1926-1930.
4. Sic. Il conviendrait d'écrire « les documents en langue latine ou castillane ».
5. On nous permettra, pour les passages communs aux articles publiés en français et en espagnol, de traduire le texte espagnol plutôt que d'utiliser la version française, en raison des ambiguïtés de celle-ci.
6. Repartimiento de Sevilla, Madrid, 1951, t. I, pp. 395-396.
7. Gautier-Dalché, J., Recherches sur l'histoire urbaine en Léon et en Castille au Moyen Age, thèse dactylographiée, Paris, 1971, t. 3, p. 863 Google Scholar.
8. Exemple d'une aldea organisée en communauté face à son seigneur : le 23 avril 1294, le roi Sanche IV donne à Gonzalo Ruiz de Toledo Valdea de Torrejôn de Sébastian Domingo, au termina de Madrid (aujourd'hui Torrejô de Velasco, commune de la province de Madrid). Le 20 juillet 1299, les hommes du village s'obligent envers leur seigneur à le servir par des paiements en poules et en maravedis, et par des corvées (” (…) los de su aldea sobredicha, sus vasallos (…), nos el conçejo de Torrejôn de Sébastian Domingo, aldea de Madrid…). Document publié par A. Pérez Chozas et A. Millares Carlo, Documentos del Archivo General de la Villa de Madrid, Madrid, 1932, pp. 7-17. Cf. M. del Carmen CARLÉ, Del concejo médiéval castellano-leonés, Buenos Aires, 1968, pp. 179-183 : « Los concejos de aldea y su funciôn ».
9. Molénat, J. P., « Tolède et ses finages au temps des Rois catholiques », dans Mélanges de la Casa de Veldzquez, t. 8 (1972). PP. 327–377 Google Scholar.
10. Dans Villages désertés et histoire économique, Paris, 1965.
11. Art. cité, pp. 371-372.
12. On trouve dans les Relaciones topogrdficas des villas en voie de dépeuplement, qui auparavant étaient lugares : Peromoro, villa de 20 feux, qui était antérieurement plus peuplée. En 150g, elle était désignée comme « el lugar de Peromoro » (Archives de Simancas, R.G.S., 31.3.1509).
13. Erreurs d'identification de Gonzalez Palencia signalées par J. PORRES CLETO, Historia de las calles de Toledo, Tolède, 2 vol., 1971.
14. Relaciones…, publiées par C. VIKAS et R. PAZ, Reino de Toledo, 3° parte, Madrid 1963, pp. 706-707. La forme des cartes contemporaines est « Argurilla ». Aux xive et xve siècles on trouve « Algorfiella », « Alhorgilla », « Algorhiella », « Algorhilla », « Alhorguilla », « Alhurguilla ». Il s'agit d'un despoblado postérieur à 1576 : à cette date il y a encore 6 feux, et une communauté villageoise formée avec d'autres anciennes aldeas également en voie de disparition.
15. Art. cité.