Net (apparent) photosynthesis rate (Pn) of jointed goatgrass (Aegilops cylindrica Host # AEGCY) leaves in the greenhouse became light saturated at a photosynthetic photon flux density (PPFD) of about 1000 μE·m–1-2·s–1 with a maximum Pn of 27 mg CO2 ·dm–2 ·h–1. Diffusive resistance to water vapor (rl) of adaxial leaf surfaces was 43% that of abaxial surfaces, in part, because stomatal density was 50% greater on adaxial leaf surfaces than on abaxial surfaces. Dark respiration rate (Rd) was 1.6 mg CO2 ·dm−2·h−1. Light compensation point (CPl) was 21 μE·m−2·s−1 and CO2 compensation point (CPc) was 32 ppmv. In the field, where light intensity and temperature were greater than in the greenhouse, leaves became light saturated for Pn at a higher intensity, and Rd and CPl were three times greater than in the greenhouse. Pn and Rd of spikes at anthesis were at least 30% less and 200% greater, respectively, than the values for leaves.

This article reports on the performance of a continuous-flow interface for CO2 gas feeding into the ion source of a 200-kV accelerator mass spectrometer (AMS) in splitless mode. Distinct CO2 fractions and subfractions produced by a commercial Sunset OC/EC (organic carbon/elemental carbon) analyzer from ambient atmospheric aerosols filters are injected into the source and then analyzed by their 14C/12C ratio in real time. New features are revealed from organic aerosol subfractions, which thermally desorb close to each other and are only visible by real-time analysis. An optimized setup for this purpose is presented for the measurement of CO2 amounts from 3 to 45 μg C. Efficiencies of 4.5–8.0% for the formation of C- ions from CO2 are obtained for sample masses of 5–10 μg C and carbon mass flow rates below 2 µg min–1. However, this ionization efficiency is substantially suppressed at high carbon mass flow rates. The potential of this method for a refined apportionment of aerosol sources is demonstrated with ambient filter samples.

L’évolution des teneurs en CO et CO2 dans les gaz à la sortie d’unconvertisseur industriel présente un comportement reproductible, qui reflète ladécarburation du bain métallique. Malgré les limitations présentes dans les équipements demesure installés au convertisseur de Siderar – analyse des gaz seulement et pas de mesurede débit des gaz produits – il a été possible de mettre en place une méthode permettantd’estimer la teneur en carbone de l’acier à la fin du soufflage d’oxygène. Il a étédéterminé que le temps écoulé entre le moment où le maximum de la courbe de teneur enCO2 apparaît, quelques minutes avant la fin du soufflage, et le moment del’arrêt du soufflage est la variable qui permet d’estimer au mieux la teneur en carbone del’acier. La méthode développée permet d’améliorer de façon significative la précisiond’obtention de la teneur en carbone d’arrêt par rapport aux pratiques conventionnelles.Les analyses réalisées ont montré que parmi les variables évaluées, celle-ci est la plusrobuste car elle est peu sensible à l’influence des paramètres qui affectent les entréesd’air dans le système et qui ont une influence directe sur les analyses du gaz. Afin demettre en œuvre cette méthode en tant qu’outil de contrôle de process en temps réel, il aété développé un système expert qui analyse point par point l’évolution de l’analyse desgaz du convertisseur, détecte le maximum de CO2 et envoie un signal au PLC pourremonter la lance de soufflage d’oxygène au moment voulu pour obtenir la teneur en carbonevisée.