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Barrès and Pascal

Published online by Cambridge University Press:  02 December 2020

Reino Virtanen*
Affiliation:
University of Wisconsin

Extract

Reading Mes Cahiers, one is struck by the large share accorded to Pascal in the meditations of Maurice Barrès, a share which does not always appear reflected in Barrès's finished work. Barres tells us that, at twenty, his favorite writers included Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, Goethe, Cervantes, and Pascal. But is was not until some time later that Pascal came to be the lode-star of the middle decades of his life. There were readers who linked his Culte du Moi with Pascal's analysis of the self, but such readers did not come until after this Culte du Moi could be retrospectively interpreted in relation to his nationalism and to his increasing impulsion toward Catholicism. It was inevitable that the skeptic and individualist should have been impressed by Pascal as a hero of independent thought. Added to this was the interest naturally felt by the artist and patriot for one of the unchallenged glories of French literature. And when the Lorrainer began to delve among the roots of the Auvergne side of his family, he would not have been the exponent of “la Terre et les Morts,” if his imagination had not been stirred by the fact that Pascal too, was from Auvergne.

Type
Research Article
Information
PMLA , Volume 62 , Issue 3 , September 1947 , pp. 802 - 823
Copyright
Copyright © Modern Language Association of America, 1947

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References

1 Mes Cahiers (Plon), ii, 55.

2 Cf. Dom Pastourel, “Egotisme et acceptation,” Annales de Philosophie chrétienne, 158 (1909), 490f.

3 Mes Cahiers, i, p. 63.

4 Mes Cahiers, iv, 191; v, 295 f.; vi, 27-34; vii, passim.

5 In a note of 1897: “Aujourd'hui encore je pense à Pascal. Si nous pensons d'accord avec lui, c'est dans sa partie sceptique …. Il y aurait à montrer comment son scepticisme est l'état même de notre science. Mais si nous l'aimons, c'est parce qu'il y a, derrière chacune de ses visions de la vie, la figure de la Mort.” Mes Cahiers, i, p. 131. On this matter it would be difficult to mark the line where Renan's influence ends and that of Pascal begins. At the end of Renan's Prière sur l'Acropole, there is a passage which links all three: “Un immense fleuve d'oubli nous entraîne dans un gouffre sans nom.” Cf. also Lanson: Histoire de la littérature française, 22e édition, p. 470.

6 Mes Cahiers, vii, 152.

7 Un Homme libre (Emile Paul, 1912), p. 97.

8 Le Jardin de Bérénice (Plon, 1921), pp. 123-124. Cf.: “La raison agit avec lenteur, et avec tant de vues, … qu‘à toute heure elle s'assoupit ou s‘égare… .” Pensées, 252 (Brunschvicg). After this, the pensées will be designated simply by their number in Brunschvicg.

9 Cf. Barrès's remark on Le Jardin de Bérénice: “… ici l'on a mis Hartmann en action.” Examen, Sous l'Oeil des Barbares (Plon, 1922), p. 28.

10 Le Jardin de Bérénice, pp. 125-126.

11 Un Homme libre, pp. 85-86.

12 Le Jardin de Bérénice, p. 131.

13 Du Sang, de la Volupté, et de la Mort (Emile-Paul, 1910), p. 83.

14 Mes Cahiers, vii, 192. The citation is from Pascal's Discours sur les Passions de l'amour.

15 Leurs Figures (Emile-Paul, 1917), p. 295.

16 Un Homme libre, p. 24.

17 Cf. “Le Regard sur la prairie,” dated 1892, Du Sang …, pp. 361f.

18 Un Homme libre, p. 135. Pensées, 536: “Car l'homme fait lui seul une conversation intérieure qu'il importe de bien régler. …”

19 Un Homme libre, p. 23.

20 Ibid., pp. 42-43, 62, 67.

21 Ibid., p. 62.

22 In particular, Pensées, 455, 457: “Chacun est un tout à soi-même….” Le Jardin de Bérénice: “Un même besoin nous agite, … défendre notre moi, puis l'élargir au point qu'il contienne tout.” p. 65.

23 Cf. Le Jardin de Bérénice, p. 87.

24 Du Sang, de la Volupté, et de la Mort, p. 31. Cf. also: “Le paysage de Tolède et la rive du Tage… . Qui les fréquente … peut se dispenser de la biographie et des Pensées de Blaise Pascal.” P. 27.

25 Ibid., p. 197.

26 Ibid., p. 50. Pensées, 397.

27 Ibid., p. 51.

28 Ibid., p. 166. It is like his “desire to be desolate” (Sous l'Oeil des Barbares), p. 92.

29 Un Homme libre, pp. 137-139. Cf. Pensées, 420. On a preceding page, we read: “Petitfils de ces qui ne surent pas se développer, ne vais-je point demeurer infiniment eloigné de Dieu!” p. 127. Compare the infinite distance of the order of charity in Pensées, 793; and the phrasing, e.g., “infiniment éloigné,” in 72. The theme of humiliation is to recur in Barrès' full nationalist phase in Le 2 novembre en Lorraine, with the identical passage in “Pas de veau gras” (Scènes et doctrines du nationalisme), and in the 1904 preface to Un Homme libre: “A force d'humiliations, ma pensée, d'abord si fière d'être libre, arrive à constater sa dépendance de cette terre et de ces morts.” P. xv.

30 Cf., in the Traité du vide, Pascal's criticism of those who place the reason of man “en parallèle avec l'instinct des animaux.”

31 E.g., Sous l'Oeil des Barbares, p. 126.

32 Scènes et doctrines du nationalisme. “Pour ma part, je serai heureux de vous montrer un jour ce qu'il y a qui confirme la pensée nationaliste dans Blaise Pascal.” (Plon, 1925), i, 130.

33 Mes Cahiers, iii, 138.

34 Cf. Charles Maurras, Trois Idées politiques; Louis Dimier, Les Maîtres de la Contre-Révolution.

35 Cf. Gilbert Chinard: “Notes sur quelques pensees de Pascal,” for affinities with Hobbes. In Essays in Honor of Albert Feuillerat (Ed., Henri Peyre, Yale University Press). Also Jacques Maritain: “The Political Ideas of Pascal,” in Ransoming the Time (New York, 1941).

36 Pensées, 313, 319, 325, 326.

37 Ibid., 312, 327.

38 Ibid., 325, 326, 328.

39 Discours sur la condition des grands (Pierre Nicole: De l'Education d'un Prince, Savreux, 1670) iii, p. 373: “… il n'en faut pas demeurer là. Il faut mépriser la concupiscence et son royaume et aspirer à ce royaume de charité.”

40 Paul Bourget, Quelques Témoignages (Plon, 1928), p. 141.

41 Cf. Pensées, 294. Charles Droulers, in La Cité de Pascal (Librairie des Sciences politiques et sociales, 1928), finds in Pascal a reaction against the Protestant idea of a contract or pact between king and subjects (p. 77.)

42 Mes Cahiers, i, 146.

43 Cf. Pensées, 116, 122, 294, 306.

44 Barrès employs Pascal's “mots déterminants” to mark the central motives of his seven characters. For Sturel, it is destiny; for Roemerspacher, culture; and for Saint-Phlin, duty. “Suret-Lefort, lui, pensait à paraître; Racadot et Mouchefrin, à jouer; Renaudin, à manger.” Les Déracinés, (Nelson) pp. 227-228.

45 Les Déracinés, p. 24.

46 Ibid., p. 125.

47 Though Saint-Phlin here and later cites Pascal as an authority, he holds too easily to his faith, for Pascalian doubt and spiritual tension to be factors in his development.

48 Les Déracinés, p. 189.

49 Ibid., p. 26. Cf. Pensées, 332: “La tyrannie consiste au désir de domination, universelle et hors de son ordre.” Bonaparte, as Sturel declares in his discourse at the tomb, is of the Caesar type, “l'animal né pour la domination,” p. 220.

50 Les Déracinés, p. 20.

51 Cf. Pensées, 131, 139, 143, and especially 164: “Ôtez leur divertissement, vous les verrez se sécher d'eunni; ils sentent alors leur néant… .”

52 Les Déracinés, p. 406. Cf. Pensées, 456: “… il n'y a personne qui ne se mette au-dessus de tout le reste du monde, et qui n'aime mieux son propre bien, et la durée de son bonheur, et de sa vie, que celle de tout le reste du monde!”

53 Cf. Camille Vettard, “Maurice Barrès et Jules Soury,” Mercure de France (1924, 15, iii), pp. 685-695.

54 In Mes Cahiers, ii, p. 160, is this note: “Mettre dans mon livre (l'Appel au soldat) une phrase: Il faudrait faire comprendre que la France est de Pascal, Rousseau.”

55 L'Appel au soldat (Nelson), pp. 363-364.

56 Leurs Figures, p. 246.

57 Ibid., p. 243. For the citation from Mme. Périer: Pascal, Pensées (Variétés, Montreal), p. 37.

58 Pensées, 325, 326, 327.

59 Leurs Figures, p. 183.

60 Ibid., p. 296. In Mes Cahiers for 1896, we observe the author, resigned to the defeat of Boulanger and Déroulède, taking counsel from Pascal: “Tout homme qui veut vivre en paix doit s'imposer la loi du silence. Et il s'appuie sur une pensée de Pascal: ‘Il faut avoir une pensèe de derrière, et juger de tout par là, en parlant cependant comme le peuple’. ” Mes Cahiers, i, 63. Pensées, 336. The dialogue of Roemespacher and Sturel is a transcription of Barrès's own reflections on Pascal's answer to the dilemma: “Faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste” (Pensées, 298). Citing the pensée: “La pluralité est la meilleure voie… .” (878), Barrès writes: “Voilà pourquoi la cause de la démocratie est désormais indiscutable. Elle est la force, il faut que nous lui accordions, contre nos prédilections aristocratiques, contre notre goût de la grande culture, la qualité de justice.” Mes Cahiers, i, 96-97. It may be noted that though Pascal based his thoughts concerning justice on Montaigne, Barrès does not go back to Montaigne, whom he seems to have read little.

61 Leurs Figures, p. 297.

62 Cf. Flora É. Ross, Goethe in Modern France (Urbana, 1937), pp. 80, 122.

63 Barrès defines the intellectual as follows: “Individu qui se persuade que la société doit se fonder sur la logique et qui méconnaît qu'elle repose en fait sur des nécessités antérieures et peut-être étrangères à la raison individuelle.” Scènes et doctrines … , i, 48.

64 Ibid., i, 49. Cf. the contrast between Bérénice and Charles Martin, Le Jardin de Bérénice, pp. 76, 84-86.

65 Mes Cahiers, iv, 195.

66 Mes Cahiers, v, 114.

67 Was Pascal, then responsible for Barrès's interpretation? Maritain, judging that Pascal sacrificed both false and true justice, answers in the affirmative. By destroying the ideal of a justice, valid for this world, Pascal opened the way for the “realists of nihilism.” Maritain, op. cit., pp. 42-52.

68 Mes Cahiers, xi (1914-1918), p. 331.

69 Cf. “Noblesse oblige,” September, 1914, in Ecrivains français pendant la guerre, i Maurice Barrès (Larousse, 1915), p. 48.

70 Mes Cahiers, iv, 191.

71 Voyage de Sparte (Plon, 1922), p. 47.

72 Ibid., p. 77. Cf.: “Epictète disait malheureux l'homme qui meurt sans avoir gravi l'Acropole. Ah! s'il existait un pélerinage que Pascal nous eút ainsi recommandé… .” P. 245.

73 Mes Cahiers, vii, 172.

74 Mes Cahiers, vii, 161-162.

75 “Le numéro 483 de la petite édition Brunschvicg est un nationalisme qui va à universalisme.” Mes Cahiers, vii, 36.

76 Mes Cahiers, iii, 138.

77 Mes Cahiers, vii. “Cette thèse [‘Le coeur a ses raisons … ‘] est vraie pour l'amour de la patrie, pour le respect de la famille, ce sont des vérités qui se démontrent en se montrant à ceux qui sont prédisposés.” P. 182. But then we read: “Peut-être sommes-nous incapables de faire autre chose qu'une rêverie avec ce qui chez lui était poussé à la pensée organisée.” P. 203.

78 Les Amitiés françaises (Plon, 1924), p. 216.

79 Mes Cahiers, iii, p. 138. Cf. Les Amitiés françaises, p. 230.

80 Les Amitiés françaises, p. 246.

81 Ibid., p. 248. The same basic nihilism and the same mode of escape are seen in the Cahiers: “Nous devons dormer à la vie, qui par elle-même n'a aucun sens, le sens français. …” vi, 307.

82 Mes Cahiers, viii, 80.

83 Mes Cahiers, v, 298; vii, 189. Germany and the Orient, allegedly, lack this conception. Pascal is here given a decidedly racist stamp: “C'est indigne d'un Aryen d'être prisonnier de la Maya. Avec quelle âpreté Pascal s'y arrache, enlève les voiles.” ii, p. 275. This dubious anthropology is seen again in 1905: “Les Pensées ont-elles égard aux caractères, aux moeurs, aux destinées de la France?—et de l'humanité? Des Aryens. Oui.” iv, 194-195.

84 Mes Cahiers, v, 298; vii, 189.

85 Mes Cahiers, vi, 6, 8. He overlooks Nietsche's “eternal recurrence.”

86 Cf. Le 2 novembre en Lorraine: “C'est tout un vertige délicieux où l'individu se défait pour se ressaisir dans la famille, dans la race, dans la nation… .” Amori et dolori sacrum (Plon, 1937), p. 268.

87 Mme. Blanc-Péridier, La Route ascendante de Maurice Barrès (Spès, 1925) p. 105; François Duhourcau, La Voix intérieure de Maurice Barrès (Grasset, 1929), pp. 88, 173, 212.

88 Mes Cahiers, ii, 270.

89 Francois Mauriac Journal, (Grasset, 1934), i, 162.

90 Mes Cahiers, iv, 142: “Avec cela joindre mes méditations sur Pascal.”

91 Mes Cahiers, ix, 256.

92 This is a theme he associates with Pascal. Mes Cahiers, viii, 270. Later, in 1916, he acknowledges he had failed to plumb the depth of meaning in Pascal's “le silence éternel….” Mes Cahiers, xi, 200.

93 La Colline inspirée (Emile-Paul, 1916), pp. 420-421. He uses the words: “Nous sommes accordés avec les étoiles,” to mark the culmination of Pascal's conversion, in the Cahier Pascal. Mes Cahiers, vii, p. 187. In another mood, his pages “L'Enfant accordé avec les étoiles” ring some changes on the “roseau pensant”: “… ce pauvre enfant surpasse tous les objets de l'univers car son regard si pur exprime l'attrait de l'infini.” La grande Pitié des églises de France (Emile-Paul, 1914), p. 116.

94 Les Amitiés françaises, p. 179.

95 Ibid., p. 210.

96 Mes Cahiers, viii, 194. Pensées, 212.

97 Cahier Pascal, Mes Cahiers, vii, 169.

98 L'Angoisse de Pascal, in Les Maîtres (Plon, 1927), p. 111.

99 Mes Cahiers, vii, 173.

100 L'Angoisse de Pascal, p. 105.

101 Here “Western personality” is tempted by “Oriental nihilism.” Guillaume is beguiled by pleasures he fears would debase him. Oriante causes him to lose his bearings as a Christian concerned with his personality and its relation to the infinite: “… l'implacable soleil de Syrie et la volonté d'Oriante collaboraient pour le corroder, le dissoudre, en sorte qu'il ne restait de son être que son amour qui lui faisait mal.” Un Jardin sur l'Oronte (Plon, 1922), p. 179.

102 L'Angoisse de Pascal, p. 111. Yet Pascal was tempted: “par son génie, qui lui montrait la volupté, la gloire et la curiosité scientifique plus belles, plus tentantes qu'aucun homme ne les a vues, car à mesure qu'on a plus d'esprit, les passions sont plus grandes.' Ah! qui pourrait écrire la tentation de Pascal!” p. 112. Barrès had in mind to do this himself. There are references in the Cahiers to his projected nouvelles, La Tentation de Pascal, and Le Pauvre de M. Pascal.

103 L'Angoisse de Pascal, p. 101. Barrès's reference is to Pensées, 259.

104 Ibid., p. 102.

105 Mes Cahiers, vii, 172. The parallel passage in L'Angoisse de Pascal runs: “Poursuite angoissante de la vérité suprème !… Nous ne pouvons pas entendre la musique sublime qui emplissait cette âme, mais nous pouvons retrouver le thème, le livret de ce drame éternel… . C'est le Psaume 118.” P. 107. Thus, L'Angoisse de Pascal is the realization of the aim recorded earlier in the Cahiers: “Un beau travail à faire: ce que Pascal aimait dans le psaume 118.” ii, p. 193. It is Psalm 119 in the King James Bible.

106 L'Angoisse de Pascal, p. 134.

107 Mes Cahiers, v, 44, 225.

108 Amori et dolori sacrum, p. 140. Cf. Pensées, 268.

109 Mes Cahiers, vii, 131, Cf. Pensées, 818.

110 Le Mystère en pleine lumière, “La Sibylle d'Auxerre,” “L'Enfance de Jeanne d'Arc” (Plon, 1926).

111 Mes Cahiers, viii, 97. Entitled “Pour Baillard et pour les églises.”

112 Le Colline inspirée, p. 424.

113 In 1908, he finds Pascal's “grandeur de l'homme dans la concupiscence” not Jansenist but “bien catholique.” He continues: “D'ailleurs était-il janséniste de génie? Par ses amis plutôt.” Mes Cahiers, vii, p. 36. In 1910, he goes further: “Les idées de Pascal sont très saines, normales, c'est le christianisme. Ce qui est anormal, c'est da manière de les exprimer, de les ressentir. C'est trop mêlé de madadie.” viii, p. 79. Yet he had written in 1906: “Je l'avoue à ma honte, je ne goûte dans Pascal que le ton.” Mes Cahiers, v, 216.

114 His apostrophe to the Sibyl, “tu reverdiras” (p. 22), recalls the epilogue of La Colline inspirée: “Dans notre âme comme sur la terre, il existe des points nobles que le siècle laisse en léthargie.” P. 421.

115 Le Mystère en pleine lumière, p. 11.

116 Ibid., p. 16. He addresses the Sibyl: “Tu nous apprends l'insuffisance des philosophies rationnelles, tu donnes la main aux mystiques, tu consacres la valeur de l'intuition des lucides.” P. 21.

117 Ibid., p. 213: “Emotion, céleste minute, c'est toi seule que nous recherchons.” “Elle répandait autour d'elle une joie étincelante, aussitôt suivie du mélancolique sentiment que nulle minute ne peut être fixée.” Un Jardin sur l'Oronte, p. 35. Guillaume reproaches Oriante: “Vous construisez quelque chose ensemble, et moi j'aurai le plaisir tout court, la minute qui ne peut être éternisée.” Ibid., p. 193.

118 “Dante,” Les Maîtres, p. 39. Also in “Sainte-Thérèse,” ibid., p. 56.

119 L'Angoisse de Pascal, p. 138. His record of a conversation with Jaurès just before the war indicates that the nouvelle was to deal with the pensée: “La distance infinie des corps aux esprits figure la distance … des esprits à la charité.” Mes Cahiers, x, p. 173. Philippe Barrès's foreword to Les Maîtres has: “Au moment de sa mort l'écrivain préparait … une nouvelle … sur le Pauvre de Monsieur Pascal.” P. ii.

120 “L'Automne à Charmes avec Claude Gellée,” Le Mystère en pleine lumière. He writes: “Je voudrais bien écrire quatre beaux livres: deux sur Byron et Goethe, un sur Pascal en Auvergne, un autre enfin sur Claude à Chamagne. J'y dirais tout. Ce seraient mes Mémoires.” P. 211.

121 Les Maîtres, p. 70. The Pascal tercentenary lecture, delivered July 8, 1923, published in La Revue hebdomadaire, July, 1923, and in Les Maîtres.

122 Ibid., p. 79.

123 Ibid., p. 85.

124 Mes Cahiers, ix, 410.

125 “Ma vraie position en face d'un Maurras, en face de ces députés, c'est celle de Pascal.” Mes Cahiers, viii, p. 95.

126 “Nous avons trouvé dans Pascal des raisons et surtout les couleurs de notre crise. Oui, des couleurs qui ennoblissent, qui compensent certaines teintes byroniennes que pouvait avoir l'anarchie.” Mes Cahiers, iv, 145.