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Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
page 127 note 2. Les idées politiques en France sous la Restauration (Bibliothèque de la science politique, 2” série : « Les grandes doctrines politiques »), Paris, Presses Universitaires de France, 1952 ; in-8°, XIV-462 pages. Préface de B. Mirkine-Guetzévitch et M. Prélot. On en rapprochera utilement M. Leroy, Histoire des idées sociales en France, t. II (De Babeuf à Tocguevilîe), 1950.
page 128 note 1. Voiries remarques de Bourdon, J., Revue de Synthèse, janvier-juin 1952, p. 123–124 Google Scholar. Sur le personnage, ajouter notre article, B. Constant en Alsace. Politique et finances (avec des lettres inédites), Revue d'Alsace, 1950-1951, p. 111-130. Des Journaux intimes, il faudrait citer l'édition récente due à A. Roulin et C. Roth.
page 128 note 2. Cf. M. Reinhard, Chateaubriand et la question constitutionnelle au début de la première Restauration, dans Rev. Hist, janv.-mars 1949, p. 72-79.
page 128 note 3. Fiévée a consacré la plus grande partie de sa Correspondance politique et administrative à la question. En 1824, selon un député, « Paris est une seconde Rome dont les départements ne sont plus que les colonies… » (Duvergier De Hauranne, Hist. du gouvernement parlementaire…, t. VIII, p. 9). — Voir G. PARISET, Histoire du régionalisme français, dans Études d'Hist. mod. et contemp. (1929), et Ch.-H. Pouthas, Les projets de réforme administrative sous la Restauration (Rev. Hist., oct.-nov. 1926, p. 321-367).
page 128 note 4. « Aujourd'hui, il faut le dire, il n'y a de nation que dans la capitale » (1824). Cité par D. Bagge, p. 85.
page 128 note 5. Bastide, P., Doctrines et institutions politiques de la seconde République (1945), t. I, p. 241 (cf. t. II, p. 132).Google Scholar
page 129 note 1. Th. Fadeville, B. Constant jugé par ses discours et ses écrits (1824). La 2e édition porte en exergue : « Il est des tartuffes du libéralisme ainsi que de dévotion » ! Du même, en exergue à Manuel jugé par ses actions et ses discours (même date) : « J'ai été longtemps dupe du faux patriotisme de ces tartuffes du libéralisme… » !
page 129 note 2. Voir à ce sujet la mise au point de J. GAULMIER en introduction à son livre récent sur Volney (Beyrouth, 1951). Je pense aussi à l'influence d'Helvétius sur Stendhal (d'après J. G. Alciatore), au livre trop peu connu de P. Alfaric sur Laromiguière et son école (1929). Il y a encore beaucoup à découvrir en province. Voir à cet égard notre aperçu : Un professeur idéologue de la Faculté strasbourgeoise de médecine sous la Restauration : M.-G. Masuyer (Rev. d'Alsace, 1948, p. 44-50).
page 129 note 3. Journal de Delécluze, publié par R. BASCHET, 1941, p. 185 (17 avr. 1825). Cf. Stendhal, Courrier anglais (édit. H. Martineau), t. II, p. 103-105, p. 357, et t. III, p. 22, 24.
page 129 note 4. Ibid., t. I, p. 133 ; cf. p. 163, 432. — M. Du Camp, Souvenirs littéraires (1882), 1.1, p. 25-27.
page 129 note 5. Voir les travaux récents de Ch. Maréchal, La Mennais au Drapeau Blanc (1946), et L'abbé de La Mennais, le Comte de Montlosier et le Baron d'Eckstein (Rev. d'Hist. Littér. de la France, 1950, p. 16-27).
page 129 note 6. Voir encore, du même, La genèse du « Médecin de Campagne » (1951), et Balzac et les feuilletons des journaux politiques (Rev. d'Hist. de la Philos, et d'Hist. Gén. de la Civilisation du 15 janv. 1935). — Pour la période mars-mai 1830, cf. M. Bouteron, Anthologie de la vie provinciale d'après la « Comédie humaine », dans le numéro (double) consacré à Balzac par la Revue des Sciences Humaines (janv.-mars 1950). — Curieux encore, les articles d'A. Dupuy sur Balzac colonial (Rev. d'Hist. Littér. de la France, 1950, p. 257-280), et L'éducation familiale dans la « Comédie humaine » (Rev. Universitaire, 1951, p. 271-276), etc…
page 130 note 1. Op. cit., p. 327 ; cf. D. BAGGE, p. 428.
page 130 note 2. Annales, 1948, p. 116-120. Du témoignage de Ballanche — Le Vieillard et le Jeune Homme, cité dans l'édition de 1819 — il y avait profit à tirer (voir la nouvelle édition de R. Mauduit, 1928, introduction et notes). Sur les sociétés secrètes et J. Rey, voir nos indications à propos d'un livre de F. Vermale (Annales, 1952, p. 280).