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Published online by Cambridge University Press: 04 May 2017
1- Sur le caractère fortement « gendré » de la législation florentine concernant la famille, voir Chabot, Isabelle, « Le gouvernement des pères : l’État florentin et la famille (XIVe-XVe siècles) », in Boutier, J., Landi, S. et Rouchon, O. (dir.), Florence et la Toscane, XIVe-XIXe siècles. Les dynamiques d’un État italien, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2004, pp. 241–263.CrossRefGoogle Scholar
2- L’accent mis par D. Lombardi sur le caractère pluraliste du droit s’oppose à l’analyse plus « étatiste » de Sarah Hanley, appliquée à la France des XVIe et XVIIe siècles : « Engendering the State: Family formation and state building in Early Modern France », French historical studies, XVI, 1, 1989, pp. 4-27, qui développe la notion de « Familystate compact ».