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page 1377 note 1. Kung, S. W., Chinese in American Life. Somc Aspects of their History, Status, Problems, and Contributions, University of Washington Press, Seattle, 1962, xv– 362 Google Scholar pp., prix $ 7,50.
page 1377 note 2. Nous empruntons à Han Suyin, Multiple Splendeur, Paris, 1954, p. 259, cette expression par laquelle elle désigne le Chinois vivant en Occident, « déraciné, étranger dans un pays inconnu, avec un coeur tourné vers la patrie abandonnée ».
page 1377 note 3. Ou seulement en 1820 î Ces origines restent peu claires ; Kung ne leur consacre que cinq lignes et ignore d'ailleurs G. Schlegel, Les Chinois à Boston (T'oung Pao, 1" série, t. 4).
page 1379 note 1. Chiffre d'ailleurs quelque peu sujet à caution en raison du caractère incertain des méthodes statistiques.
page 1379 note 2. Certes, les tout premiers arrivants, ceux des années 1807 ou 1820-1847, ont bien débarqué sur la côte atlantique, à New York, Boston ou Salem, ports alors en relations avec la Chine. Mais le mouvement était infime ; et c'est bien de l'ouest que sont venus ceux qui peuplent aujourd'hui New York.
page 1379 note 3. En 1960, la côte du Pacifique compte 142 000 Chinois, et le groupe New York, New-Jersey et Pennsylvanie, 45 000.
page 1381 note 1. Rappelons aussi l'exemple largement antérieur de Yong Wing : arrivé à Boston en 1847, étudiant à Harvard, converti au christianisme et naturalisé américain ; rentré en Chine en 1854, il est interprète à Hong-Kong, puis passe au service du viceroi « réformateur » Tseng Kouo-fan, auquel il inspire son plan de modernisation de la Chine en 1870-71.