Individual increase in inbreeding coefficients (ΔFi) has been recommended as an alternate measure of inbreeding. It can account for the differences in pedigree knowledge of individual animals and avoids overestimation due to increased number of known generations. The effect of inbreeding (F) and equivalent inbreeding (EF) calculated from ΔFi, on growth traits were studied in Nilagiri and Sandyno flocks of sheep. The study was based on data maintained at the Sheep Breeding Research Station, Sandynallah. The pedigree information and equivalent number of generations were less in Sandyno compared with Nilagiri sheep. The average F and EF for the Nilagiri population were 2.17 and 2.44, respectively and the corresponding values for Sandyno sheep were 0.83 and 0.84, respectively. The trend of inbreeding over years in both the populations indicated that EF was higher during earlier generations when pedigree information was shallow. Among the significant effects of inbreeding, the depression in growth per 1 percent increase in inbreeding ranged from 0.04 kg in weaning weight to 0.10 kg in yearling weight. In general, more traits were affected by inbreeding in Nilagiri sheep, in which greater regression of growth traits was noticed with F compared with EF. Higher values of EF than F in earlier generations in both the populations indicate that EF avoided the potential overestimation of inbreeding coefficient during recent generations. In the Sandyno population, the magnitude of depression noticed among growth traits with significant effects of inbreeding was higher. The differences in response to F and EF noticed in the two populations and possible causes for the trait wise differences in response to F and EF are appropriately discussed.

L'accroissement individuel des coefficients de consanguinité (ΔFi) a été recommandé comme une mesure alternative de la consanguinité du fait qu'il tient compte des différences dans la connaissance que l'on a de la généalogie des animaux individuels et vu qu'il évite la surestimation résultant d'un plus grand nombre de générations connues. L'effet de la consanguinité (F) et de la consanguinité équivalente (EF), celles-ci calculées à partir de ΔFi, sur les paramètres de croissance a été étudié dans des troupeaux de moutons Nilagiri et Sandyno. L'étude s'est basée sur des données conservées à la Station de Recherche pour l'Amélioration des Ovins (Sandynallah). La généalogie était moins connue et le nombre équivalent de générations était plus faible pour les moutons Sandyno que pour les moutons Nilagiri. Les valeurs moyennes de F et de EF pour la population Nilagiri ont été respectivement de 2,17 et 2,44, avec les valeurs correspondantes pour les moutons Sandyno ayant été respectivement de 0,83 et 0,84. Dans les deux populations, l'évolution suivie au cours des années par la consanguinité montre que EF était plus élevée dans les premières générations, pour lesquelles moins d'information sur la généalogie était disponible. Parmi les effets significatifs de la consanguinité, la dépression de la croissance a varié de 0,04 kg pour le poids au sevrage à 0,10 kg pour le poids à un an de vie pour chaque 1 pour cent d'augmentation de la consanguinité. En général, les caractères affectés par la consanguinité ont été plus nombreux chez les moutons Nilagiri, pour lesquels une plus forte dépression des paramètres de croissance avec F qu'avec EF a été observée. L'obtention de valeurs plus élevées pour EF que pour F dans les premières générations des deux populations révèle que EF a évité la possible surestimation du coefficient de consanguinité dans les générations récentes. La dépression de la croissance par l'effet significatif de la consanguinité a été plus forte dans la population Sandyno. Les différences décelées dans les deux populations pour ce qui est de la réponse à F et à EF et les causes possibles de ces différences sont dûment discutées.

El incremento individual de los coeficientes de endogamia (ΔFi) ha sido recomendado como una medida alternativa de la endogamia ya que tiene en cuenta las diferencias en el conocimiento que se tiene de la genealogía de animales individuales y evita la sobreestimación debida a un mayor número de generaciones conocidas. El efecto de la endogamia (F) y de la endogamia equivalente (EF), calculadas a partir de ΔFi, sobre los parámetros de crecimiento fue estudiado en rebaños de ovejas Nilagiri y Sandyno. El estudio se basó en datos conservados en la Estación de Investigación para la Mejora del Ganado Ovino (Sandynallah). Se dispuso de menos información sobre la genealogía y el número equivalente de generaciones fue menor para las ovejas Sandyno que para las ovejas Nilagiri. Los valores medios de F y EF para la población Nilagiri fueron de 2,17 y 2,44, respectivamente, y los valores correspondientes para las ovejas Sandyno fueron de 0,83 y 0,84, respectivamente. En ambas poblaciones, la evolución seguida a lo largo de los años por la endogamia hizo ver que EF era mayor en las generaciones tempranas, en las que la información sobre la genealogía fue escasa. Entre los efectos significativos de la endogamia, la depresión del crecimiento varió de 0,04 kg en el peso al destete a 0,10 kg en el peso al año de vida por cada 1 por ciento de incremento de la endogamia. En general, fueron más los caracteres que se vieron afectados por la endogamia en las ovejas Nilagiri, en las cuales se observó una mayor depresión de los parámetros de crecimiento con F que con EF. La detección de mayores valores para EF que para F en generaciones tempranas de ambas poblaciones indica que EF evitó la posible sobreestimación del coeficiente de endogamia en generaciones recientes. La depresión detectada en parámetros de crecimiento por un efecto significativo de la endogamia fue mayor en la población Sandyno. Se discuten debidamente las diferencias advertidas en las dos poblaciones en la respuesta a F y EF y las posibles causas de estas diferencias.