Sur les Parlements d'Ancien Régime on a composé plusieurs sortes d'ouvrages. La plupart sont des chroniques, plus ou moins vivantes et détaillées, des principales crises qu'ont traversées, au cours du XVIIIe surtout, nos Cours souveraines. L'auteur de cet article, lui, a essayé pour une période limitée — les quarante dernières années de l'Ancien Régime — et s'agissant d'un Parlement qui n'avait pas encore trouvé d'historien, de présenter une catégorie sociale, en même temps que de tracer le tableau détaillé de ses interventions dans le domaine des « affaires publiques ». Il désirerait, dans ces quelques lignes, exposer certains résultats auxquels il croit être parvenu.