page 417 note 2. England und die Gesittungsgrundlage der europäischen Frühgeschichte. Studien zur Englandkunde. Frankfurt a. M., Diesterweg, 1930 ; in-8°, [IV]-325 p.

page 418 note 1. A propos de 1’ « insularité » anglaise (p. 7), dont on a coutume de faire si grand état, je note en passant qu'au XV^e siècle Sir John Fortescue la tenait pour un cruel désavantage, comme exposant son pays à l'invasion (On the governance of England c. III et XII). La notion des pouvoirs magiques de la royauté à laquelle, avec juste raison, je crois, M^r Hübener attache une grande importance, était universellement répandue dans le monde médiéval : ne vit-on pas, en 1081, les paysans toscans chercher à toucher les vêtements de l'em- ‘ pereur Henri IV dans l'espoir de se procurer par là de belles moissons ! (Anselmi Vita auctore Rangerio, éd. La Fuente, IV, 3). J'avais omis ce texte significatif dans mes Rois thaumaturges ; je suis heureux d'avoir l'occasion de réparer mon oubli. M^r Hübener m'a fait l'honneur de citer le livre que je viens de rappeler : puis-je lui signaler qu'en lisant le nom de l'auteur sous la forme : Marcel Bloch, il a trop ingénieusement résolu une abréviation, en l'espèce inexistante ?